1. Le professeur, sa Maîtresse, l'élève


    Datte: 05/11/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    ... la bordure de dentelle. Victor a emprisonné mes poignets dans des menottes garnies de velours qu’il a accroché au pied du lit. L’attache était symbolique et elle m’obligeait surtout à me tenir un peu penchée vers l’avant.Victor m’a demandé si je voulais la cravache. J’y pensais depuis quinze jours. C’était ce qui m’avait tenue si longtemps éloignée de lui. J’étais obligée de reconnaitre que la douleur que j’ai ressentie, si intimement liée à la jouissance, avait exercé sur moi une profonde attirance. Une sorte de fascination physique que je ne pouvais nier.Et plus encore, un envoûtement psychologique que me faisait peu à peu. L’idée d’être livrée à un homme qui pourrait exiger de moi ce qu’il voudrait. La répulsion instinctive que j’éprouvais à cette et la séduction dangereuse qui s’insinuait dans mon esprit. Cette abdication de ma volonté dans la volonté d’une autre dégageait un charme trouble qui me perturbait.Victor a cravaché ma croupe jusqu’à ce que j’éclate en sanglots et l’implore d’arrêter. La souffrance physique était intense mais j’avais retrouvé dès le premier coup de cravache toutes ces sensations qui m’avaient tenue si inquiète depuis deux semaines. Une excitation indéniable qui irradiait sa chaleur à l’intérieur de mon ventre.La correction avait été dure que je m’étais laissée tomber sur les genoux. Je savais qu’il suffirait que Victor introduise sa verge dans moi pour provoquer un orgasme délicieux. J’attendais et je m’en voulais de l’attendre. J’avais honte ...
    ... de me soumettre et cette honte me procurait une sombre et lourde satisfaction intérieure.Victor m’a demandé si je voulais quelque chose et j’ai répondu « baise-moi s’il te plait, baise-moi… » À cet instant, la porte du studio s’est ouverte et une femme est entrée. J’ai voulu me relever, mais un coup de cravache m’a rejetée à genoux. La femme était la brune que j’avais vue avec Victor sur la place du marché aux chevaux.- Tu crois que je peux la prendre en main mon petit Vicki ?- Oui Maîtresse, je crois qu’elle a des dispositions…- Est-ce que tu l’as possédée par le cul ?- Oh non, Maîtresse, je savais que tu la réservais pour toi…- C’est bien mon Vicki, laisse-moi maintenant…La femme s’est assise sur le lit et elle m’a regardée longtemps sans rien dire. Je savais que mes yeux étaient rouges d’avoir pleuré et que mon maquillage avait coulé. J’étais plus humiliée de le montrer à cette femme qu’à Victor. De même que les menottes la position agenouillée, le corset et les manques de la cravache sur mes fesses m’humiliaient plus devant elle que devant lui.En outre, j’avais une peur panique qu’on me pénètre l’anus. Une angoisse indicible et une répulsion immense. Les deux se mélangeaient si bien que je ne supportais même pas qu’on me touche à cet endroit. Or, mon amant venait d’affirmer que cette femme allait me sodomiser. J’étais paralysée par un effroi qui me bouleversait.- Victor à tout de suite pensé que tu ferais un sujet adorable. C’est vrai que tu es ravissante et les larmes te ...
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