Tout feu, tout flamme
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
jeunes,
Inceste / Tabou
bain,
douche,
revede,
Masturbation
pénétratio,
mélo,
fantastiqu,
... tout mon corps avant de m’abattre sans force sur le matelas, terrassée un incroyable orgasme vaginal. Peu à peu, le froid retomba sur moi comme un linceul. Le rêve m’échappait, bulle de savon éclatant sur un sol trop dur. Il faisait toujours nuit noire. Je palpais la surface glaciale autour de moi, faisant rouler les cailloux emprisonnés par la toile. Ma main rencontra soudain une texture chaude et ferme, palpitante de vie. Un torse musclé. Un homme, tout proche, osant à peine respirer. Lequel des deux cousins était-ce ? Je laissai glisser mes doigts le long de ce corps au repos, jusqu’à atteindre un sexe qui était loin de l’être. Je le branlais doucement, sans un mot. Il y eut un soupir, et une main empauma mon sein. — Viens… J’enjambai mon partenaire, avant de m’accroupir au-dessus de lui, frémissante. Abaissant mon pubis vers sa queue bien droite, je m’empalai d’un seul mouvement de bassin. J’étais bien assez lubrifiée pour ça, et surtout trop désireuse de le sentir au fond de moi pour lui laisser la moindre chance de s’échapper. Marc ou Thomas ? Repoussant cette question, je chevauchai ce corps inconnu avec toute la rage et la brutalité du manque. Tant que je me faisais du bien, ça ne faisait aucune différence. Mon esprit refusait de savoir, mais mon corps ne pouvait se tromper… Cette nuit-là, Thomas Ginest me baisa trois fois. Je ne le laissai en paix qu’à ce prix. --oOo-- Le lendemain, je me réveillai seule, avec l’impression d’avoir rêvé. L’arrivée du jour avait ...
... chassé cet état d’excitation surnaturel, laissant place au malaise et à la culpabilité. Tout aurait été plus simple si Thomas n’était pas venu me rejoindre sous la tente. J’en arrivais presque à souhaiter qu’il ne se soit rien passé entre nous… J’avais provoqué l’ado sans la moindre honte, usant de tous mes atouts de femme pour le séduire. Puis je m’étais donné à lui, encore et encore. Thomas m’avait procuré un plaisir fou, des orgasmes incroyables, chacun plus fort que le précédent. Et maintenant, voilà que j’avais des vapeurs en songeant à son âge ? «Le meilleur moyen de résister à la tentation, c’est d’y succomber », me consolais-je, rejoignant ainsi le rang des pécheresses citant le grand Oscar Wilde comme d’autres réciteraient des Notre Père… Pensais-je sincèrement ce que je disais ? En quoi cette incantation – galvaudée par la télé réalité de troisième zone passant l’été sur TF1 – justifiait-elle mon inconséquence ? Je traînais plus que de raison dans mon sac de couchage, retardant le moment de sortir de la tente. Je dus me rendre à l’évidence : je n’avais aucune envie d’affronter le regard de Marc, encore moins d’afficher ma relation avec son cousin. Pourquoi étais-je si mal à l’aise ? Parce que Thomas et moi avions passé une bonne partie de la nuit à faire l’amour ? Ou bien parce que Marc était au courant, vu qu’on avait baisé sans la moindre discrétion ? Et puis merde, je n’avais pas à me justifier ! Ni Marc, ni moi, n’étions des gamins. Thomas était majeur après tout. De ...