1. Moi, Pro-Fesseur, épisode 2


    Datte: 15/05/2021, Catégories: Première fois BDSM / Fétichisme Lesbienne

    ... toujours nue, sa poitrine qui se balance au rythme de ses mouvement, elle me nettoie mes pièces, mes petits donjons. À genou, elle range, nettoie avec grand soin chacun des objets et meubles qui les remplissent. Je la regarde faire, la guide d’une cravache, elle se plie à tous mes désirs, embrassant ma cravache après chaque porté sur son corps. Je la traite comme une cliente en fait. J’avoue que si elle me payait, cela rendrait les choses nettement moins compliquée, non pas que je suis vénale, non, mais je ne me poserais plus ces questions de merde.On est samedi, je la fais se vêtir d’une très courte jupette, d’un chemisier trop petit, très transparent, de talon aiguille de bien dix centimètre, un cabas, une liste de course et deux heures pour tout acheter. Elle conserve son collier pour sortir, refusant que je lui ôte. Elle veut afficher clairement qui elle est, ce qu’elle est, c’est tout à son honneur. Pendant ce temps, je me prélasse dans un bain chaud. Je pense à la suite à donner à cette soumission. Ma sœur me sort de ma torpeur, au téléphone, elle me dit avoir vu Sidonie, qu’elle la trouve merveilleuse dans sa tenue, qu’elle affole tous les passants. Je la supplie de venir. Oh putain, j’ai supplié, moi ? Non, ce n’est pas possible que j’ai fait ça ?Elle arrive ventre à terre, des bigoudis pleins la tête. Je ris de la voir ainsi, cela faisait si longtemps. Je lui offre à boire, lui explique tout, encore une fois. Sa main se glisse sous mon peignoir, elle me couche, se ...
    ... jette sur ma bite, la fait bander, s’empale sur elle.- Si tu la rejette, t’es le roi des cons. Et c’est aussi me rejeter. » Elle m’embrasse tendrement. « Je sais tout, mais j’avais promis de ne rien te dire. Elle sait tout grâce à notre père. Même lui n’est pas parvenu à faire faiblir notre frère, c’est dire s’il est con, le frérot.- Je sais, elle m’a tout dit. Moi qui pensais bien faire en la soumettant psychologiquement, c’est un flop total.- Non, je ne crois pas, c’est juste le contraire que j’ai vu dans la rue. Elle est ta soumise, ton esclave, elle le restera autant que tu la voudras. Entre nous, je crois que c’est pour toujours.Ma sœur jouit, me fait jouir sur ses seins, son visage. Sidonie revient, nous trouve, fait comme si elle ne nous voyait pas. Dans la cuisine, elle range mes commissions. Quand elle nous rejoint, c’est nue, mains sur sa tête. Isabelle tend son pied sans un mot. Sidonie se penche, l’embrasse, le lèche, le suce de partout. Je crois que ma sœur a raison. Je me place derrière elle, relève sa croupe, agace son anus, le lubrifie et m’y enfonce. Je veux son cul, son sexe, ses seins, son corps et, mais surtout, sa soumission. Maintenant, je la crois soumise sans limite, sans plus aucun tabou. Isabelle avait raison, je l’embrasse en lui demandant de me pardonner. Sa gifle n’est qu’une bien faible punition face à mes doutes. Je baise sa main, suce ses doigts, ce n’est de loin pas la première fois. Sidonie pousse encore plus loin, se glissant entre les cuisses ...
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