La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 586)
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Pauline au Château - (suite de l'épisode précédent N°585)- Il me fait presque sourire, il croit vraiment que je vais faire le trajet dans un coffre de voiture, comme un vulgaire bagage. Alors, je décide de rester statique, lui faisant ainsi comprendre mon refus. Constatant très vite mon obstination, il claque des doigts, et ses deux acolytes, me soulèvent énergiquement par les jambes et les bras, et avant que je réalise, je me mets à crier de surprise et ils me laissent tomber dans le coffre, je me cogne douloureusement la tête. Walter se penche sur moi, vérifie mon crâne et constate juste une petite bosse sans gravité alors il décroche la laisse présente à mon collier, je rugis au fond de moi. Dans un claquement, le coffre est refermé, sous les éclats de rire des trois hommes. Je bouillonne, ces hommes sont à mes yeux, des inconnus. Je ne leur dois en aucun cas respect et obéissance, juste parce que le Maitre le leur a permis de s’occuper de moi. Il m’est inconcevable de devoir me plier à d’autres qu’au Maitre. Je ne les connais pas, ils ne méritent ni mon respect et mon obéissance, le Maitre, Lui a pris le temps de me connaitre, ainsi que mes douleurs et mes envies, Il a donc obtenu ma confiance, alors que ces hommes non. J’ignore même leur nom à part ce Walter et l’autre que l’on a appelé à un certain moment Franck. Cela me sidère, je suis traitée comme une vulgaire chienne, par des hommes qui croient avoir tous pouvoirs sur moi. Et à ce moment précis il m’est encore ...
... difficile de comprendre et d’accepter que tout simplement ces hommes obéissent aux consignes de Monsieur le Marquis d’Evans et qu’ils ont tous pouvoirs sur moi car le Maître leur en a donné l’ordre. Je ne suis pas une salope qui se livre à qui le souhaite et donc je me révolte intérieurement... Le moteur de la voiture retentit, je sens qu’on fait une marche-arrière, et qu’on quitte cet endroit. Je suis plongée dans le noir, et cela m’apaise. Maintenant, que j’y pense, je suis contente d’être dans le coffre, ainsi, personne ne peut jouer avec moi. Je n’aurais en aucun cas souhaité être placée entre les deux acolytes qui ne se seraient pas privé de me fouiller, de me toucher par leurs mains certainement baladeuses. La voiture semble traversée une ville, la vitesse n’est pas extrême, mais les ralentisseurs ne sont pas pris avec calme pour autant, je suis baladée dans tous les sens dans le coffre, alors j’écarte mes bras contre la paroi du coffre, pour me maintenir stable. Le véhicule finit par stopper, le moteur est éteint, je reprends une position fœtale, ne voulant laisser croire que ce voyage fut éprouvant. Le coffre s’ouvre et la lumière du jour m’aveugle, je cligne des yeux à plusieurs reprises afin de m’habituer. N’attendant aucun ordre, je me lève, descend du véhicule, et reprends ma position quadrupédie aux pieds de Walter. Cette attitude semble perturber le Majordome qui visiblement s’attendait à une résistance de ma part. Il ferme le coffre avec douceur, puis tire la laisse ...