1. Carl


    Datte: 16/05/2021, Catégories: Anal Mature, Première fois

    ... nature et ce beau soleil de Printemps avaient quelque chose de cruel. A présent il me devint insupportable de voir Carl revenir guilleret après qu'il eût emmené une femme dans une grange tandis que moi telle une idiote je tirais sur une clope et écoutait la radio. Mon salaud de mec ne faisait plus d'efforts pour me baiser. Il se tournait vers le mur et ronflait. La sagesse du pays criait de me prendre un amant. Je n'avais plus de force ni de goût à cela.Carl résuma cela un jour par un : « T'as une mauvaise mine, tu sais ! » Je n'eus pas la force de sourire et de répondre par une pirouette. J'étais au point de ne plus rebondir et de renvoyer la balle. Je tournais la tête vers le paysage pour qu'il ne vit pas mes larmes sourdre du fond de mes yeux. La dépression gagnait. Je n'ai jamais tant méprisé que ceux qui craquent. Allais-je rejoindre leur clique ? Pour donner le change j'expliquais à Carl que j’avais chopé une crève carabinée.Ce jour-là nous débarquâmes chez Lydia une grande blonde sulfureuse, mangeuse d'hommes et dont j'étais un peu jalouse. Je savais tandis que je papoterais avec la mère que cette garce se taperait Carl. Ils faisaient cela dessous dans le garage. La pauvre maman vieille et sourde n'en avait nulle idée. Cela donnait toujours un effet comique. Elle concevait sa fille comme une sainte. Ce jour-là je n’avais guère le cœur à rire. La maman comme souvent fut pris de somnolence.Dans le silence je percevais en bas des bruits et des gémissements. Poussée par ...
    ... une curiosité coupable , je n'y tins plus et voulus voir. Ces deux-là tout à leur affaire n'avaient pas fermé la porte. D’ailleurs leur goût allait sûrement à l'exhibition et à être admiré dans leurs ébats. Carl lui bourrait le cul tandis qu'elle grande et debout s'appuyait contre un mur. Elle avait un beau cul ferme et était bien foutue. Carl était impressionnant en chacun de ses coups de boutoir.Indubitablement j'aurais aimé être à la place de cette femme pour recevoir autant. Je concevais maintenant que mes copines surent gré à Carl de vouloir s'occuper d’elles de temps en temps. Je songeais qu'on m'avait refusé les joies du sexe ces derniers temps. Je ressemblais à une pauvre plante qu'on néglige d’arroser et qui dépérit. Un sentiment de révolte me souleva. D'abord excitée je fus pris d’écœurement devant ce coït et remontais à la cuisine où la vieille dame somnolait encore.Elle se réveilla peu avant que sa fille et Carl remontâmes. Ce dernier se jeta sur un pâté et quignon de pain. Baiser cela creuse. Lydia le teint enflammé et vraisemblablement réjouie se grilla une clope devant moi me jetant un coquin regard . Elle s'autorisa des mêmes mots que Carl : « Ben t'as une mauvaise mine ! » Il n'y avait nulle malignité dedans mais je pris cela mal pourtant. Je me sentis humiliée. Je crus qu’elle me signifiait qu’elle se tapait Carl nous croyant amants.A partir de ce jour en effet il me parut que je devais clarifier cette situation. Puisque tous nous croyaient amants pourquoi ne ...