1. De Constantine à Marseille - Jean - 2


    Datte: 16/05/2021, Catégories: hh, couleurs, hépilé, hsoumis, hdomine, miroir, strip, BDSM / Fétichisme Transexuels massage, Oral pénétratio, hgode, hsodo, Gay

    Je n’ai pas fait le total des séances chez Bart, puisqu’il aime qu’on l’appelle ainsi. Il y a eu aussi quelques week-ends sympas dans sa maison de Saint-Raphaël. Avec l’autre plaisir non dissimulé d’y aller avec lui dans sa vieille Buick décapotable de collection. Je ne suis pas très voiture, mais là, quand même, ça en jette. Bart a 32 ans. Il est grand, environ 1,90m, puissant. D’après ce que j’ai compris, il a été content de prendre ses distances avec sa famille qui réside en Côte d’Ivoire, voilà déjà une dizaine d’années. Je crois qu’il ne voulait pas trop du mariage qu’on lui proposait. Son père est dans les affaires là-bas, et je crois que même s’il ne faisait pas des journées entières d’épilations, la vie ne serait pas trop dure pour lui. Ces huit derniers mois, j’ai passé beaucoup de temps avec Éric, que j’aime beaucoup et qui me fait tellement rire. Éric a suivi en connaisseur la progression de ma perte définitive des poils. On parlait sans retenue de Bart et… de ses goûts particuliers pour les fesses rouges, comme dit Éric. Éric m’a dit ne pas aimer du tout ce genre de choses, mais m’a cité plusieurs noms de mecs qui aiment une pratique plus poussée du sado-maso, puisqu’il faut l’appeler ainsi. Je lui ai expliqué que pour moi ce n’était pas une fin en soi. Juste un besoin de plaire à l’amant. Souvent, je passais tout le week-end avec Éric, dormais chez lui le dimanche soir et passais la journée du lundi, sa journée de repos, avec lui. Après m’avoir fait aimer le ...
    ... look féminin du maquillage, Éric m’a appris les rudiments du maquillage. Parfois Éric mettait une perruque et me demandait comment je le trouvais. J’ai été franc, il avait l’air d’un travelo. Ça le mettait en rage contre moi. Mais quoi, c’était vrai ! J’ai essayé à mon tour pour lui faire plaisir, mais celles qu’il avait étaient toutes blondes à cheveux longs, et ça me faisait le même look de pute. Un week-end, à Grasse, j’en ai parlé avec Bart, comme ça, pour parler de quelque chose. — C’est pas parce qu’Éric n’a pas de goût pour les perruques que ça ne t’irait pas ! m’a-t-il dit.— Tu aimerais que j’en mette une ? lui ai-je demandé, un peu surpris quand même. On était dehors, devant la piscine de sa maison, nus, en train de prendre le soleil. C’était l’heure de l’apéritif, et Bart avait ouvert une bouteille de Viognier. Il a fait tourner négligemment le liquide dans son verre, a pris tout son temps comme pour peser le bien-fondé de ma question. — Pourquoi pas ?! a été son verdict.— Si ça te plaît, moi je veux bien ! ai-je précisé. Mais vraiment, t’aurais vu la tronche de pétasse que ça me faisait, je ne crois pas que ça t’aurait vraiment excité ! Le vin tourne et tourne dans le verre. Puis il boit une lente gorgée, comme si l’effort de lever le verre était en soi un exploit : — Franchement Jean, je n’arrive pas à t’imaginer avec un look de pétasse, comme tu dis. Ne lui répète pas, ça lui ferait de la peine, mais Éric n’aura jamais les traits fins que tu as.— En tout cas avec la ...
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