La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°789)
Datte: 16/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°788) – Je n’en pouvais plus, mes muscles étaient tétanisés, j’avais l’impression de brûler de l’intérieur, je ne pouvais calmer mes sanglots et mes tremblements. Je ne sais combien de temps la soirée avait duré, mais j’avais l’impression qu’elle avait été très très longue, et en même temps très courte, tellement elle avait été intense, et chargée de si nombreuses découvertes… Je fus laissée de longues minutes, attachée sur mon siège de gynécologie, et yeux bandés, les membres très largement écartés, certainement pour me laisser le temps de me remettre avant de passer à ‘l’épreuve’ suivante. Je finis par entendre des pas se rapprocher de moi, j’essayais de calmer mes larmes, de retrouver une certaine contenance pour faire honneur au Maître, que je n’avais pas revu depuis le début de la soirée. Mais au lieu d’un nouvel inconnu, je reconnus la voix de Celui à qui je voulais appartenir plus que jamais corps et âme. Rien que ce timbre de voix me mit du baume au cœur, j’espérais seulement qu’Il n’aurait aucun reproche à me faire après cette soirée au rythme soutenu… Il m’enleva Lui-même le bandeau et je vis Sa main se tendre vers moi, et essuyer mes larmes, Il était souriant et Il me caressa doucement les cheveux et tout le corps. Puis Il commença à me détacher, lentement, en prenant soin de me soutenir à la place de mes jambes qui ne le pouvaient plus. Monsieur le Marquis me soutint jusqu’à un fauteuil de bureau confortable. ...
... Relevant brièvement la tête, je m’aperçus que tous les inconnus qui étaient présents pour cette soirée, s’étaient éclipsés discrétement. Il ne restait plus que le Maître Vénéré qui avait l’air de s’occuper de moi comme d’une chose précieuse qu’Il aurait eu peur de casser. Il s’assit et me prit sur Ses genoux, me berçant avec tendresse, comme on l’aurait fait d’un petit bébé dont on essaierait de clamer les pleurs. Monsieur Le Marquis d’Evans ne disait pas un mot, Il me laissait le temps de me calmer, de me remettre. J’espérais que Son silence ne cachait aucune désapprobation. Dans ce moment de calme, d’intimité, je repensais à la soirée, me demandant si à un moment j’avais pu mécontenter un des Invités, mais je ne trouvais rien qui me sembla répréhensible. Mais j’étais tellement novice, en ce qui concernait le réel, que j’avais pu commettre des erreurs involontaires… Lorsque je me fus calmée, que plus une larme ne coula, le Maître exerça une légère pression, me faisant comprendre de descendre de Ses genoux, et instinctivement je me prosternais devant Lui, lui baisant le bout de Ses chaussures de cuir. - Avant que je ne prenne la parole plus longuement, as-tu quelque chose à me dire ? Tu peux parler, je t’y autorise. - Cher Maître Vénéré, cette soirée a vraiment été très intense. Il a fallu de nombreuses fois que je me concentre sur Vous, sur le fait que je ne souhaitais qu’une chose, Vous satisfaire, pour réussir à surmonter mes peurs, mes barrières que j’ai réussi, de mon mieux ...