La conclusion
Datte: 16/05/2021,
Catégories:
fhh,
extraoffre,
cocus,
inconnu,
prost,
fsoumise,
hdomine,
chantage,
contrainte,
dispute,
strip,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
La semaine s’écoula sans fracas : il vint lundi, me baisa, mardi sans me baiser – première nuit sans sexe avec lui, qu’il expliqua par la nécessité de me mettre en manque pour le vendredi. Il ne vint effectivement ni mercredi ni jeudi, où il appela pour me demander à quelle heure il pouvait passer me prendre. Ma guêpière étant restée tachée au niveau des seins et ma petite culotte aussi, il m’avait offert le mardi des bas à motifs « Tulle », une culotte et un porte-jarretelles en dentelles, le tout blanc immaculé. Il m’avait dit de me trouver un soutien-gorge assorti, parce que c’était un truc qu’il ne pouvait acheter à ma place mais j’avais ce qu’il fallait. J’étais gênée de mettre de tels atours de mariée vierge. Il y a longtemps que je ne pouvais plus porter du blanc virginal ! Pour moi, la semaine fut toutefois une semaine d’inquiétude : n’étais-je pas allée trop loin ? Je craignais qu’il n’ait de la suite dans les idées au sujet de David. C’eut été la honte de ma vie qu’il aille lui proposer ça, et il en était capable. David aurait immédiatement accepté, ce salaud, vu qu’il m’avait proposé une fois de faire ça avec une de ses maîtresses. Je pensais à la honte de ma grand-mère si elle apprenait tout ça, et j’avais honte également. Je me rendais compte qu’il avait suffi à ce salaud de me « rendre heureuse au lit », comme il disait, pour que je néglige ma fille, ma grand-mère, toutes mes convictions, mon éducation… pour me laisser complètement faire. Je me doutais que ...
... m’envoyer en l’air avec deux types, ça dépassait les bornes. Et ça les dépassa hélas largement. Vendredi, après avoir confié ma fille à David qui en profita pour me glisser des bisous dans le cou et me peloter comme si j’étais encore à lui, je me lavai, me maquillai, me parfumai et m’habillai : dessous blancs, jupe mi-longue fendue assez haut qui laissait entrevoir certaines choses lorsque je marchais, chemisier et gilet en coton, le tout très sexy. Michel vint me chercher vers vingt heures. Il y eut pas mal de circulation et nous ne trouvâmes place dans un parking du seizième que vers vingt et une heures quarante-cinq. À vingt-deux heures, on sonnait à la porte d’un appartement bourgeois du côté d’Auteuil. Un homme d’un trentaine d’années, pas vraiment beau mais bien bâti, nous accueillit. Il s’appelait Philippe. J’avais très faim et pas du tout envie de sexe, malgré quatre jours d’abstinence. Michel m’avait tout juste embrassée. Dans la pièce principale, il y avait un buffet de traiteur avec du saumon fumé, du caviar, du foie gras… et nous bûmes du champagne. Cela me grisa assez vite : je ne tiens pas du tout l’alcool et Michel me forçait un peu. Je n’avais jamais mangé de caviar et ils me racontèrent que c’était le plus puissant des aphrodisiaques. Avec mon mari qui est très riche, j’ai refait l’expérience, cela me paraît faux. Par contre, le champagne me tourna la tête et ils se mirent à me peloter sans ménagement. J’essayai de les empêcher. J’aurais encore pu échapper à leur ...