1. Mon dépucelage avec la mère de mon copain (2)


    Datte: 16/05/2021, Catégories: Hétéro

    ... blanche de dentelle très transparente. Je la caressai délicatement sur le corps osant à peine toucher cette beauté. Elle me prit la main, devant mes hésitations, et l’introduit dans sa culotte. Je caressais doucement une fine toison très bien entretenue, et je la sentais se trémousser doucement sous mes doigts. Je m’engaillardis, et sortis ses seins du joli soutien-gorge à balconnets et me mis à les lécher longuement tout en farfouillant dans sa culotte. — Mets les doigts à l’intérieur ! Me dit-elle. Je caressais doucement ses lèvres son clitoris, elle se tordait de plus en plus. Mon sexe avait repris une belle taille avec l’excitation. D’une main, elle me le saisit et me masturba à nouveau pendant que mes doigts fouillaient son antre. Après un gros spasme elle m’inonda la main, à l’époque je ne savais pas qu’une femme émettait du liquide en jouissant. J’éjaculai une deuxième fois mais sur la moquette de la voiture. Elle me charria un peu et m’embrassa de nouveau. — Il faut que je rentre me dit-elle soudain, on se revoit demain si tu veux bien. — Oui à la même heure à l’auto-école ? — Oui, comme aujourd’hui Le lendemain, elle m’attendait comme la veille, mais cette fois, elle avait une chemise blanche et une longue jupe souple. Nous allâmes au même endroit que la veille, mais j’étais plus à l’aise. Nous nous embrassâmes longuement puis j’introduisis ma main dans son chemisier pour caresser ses seins. -Je vois que Monsieur a pris de l’assurance ! -Oui je me sens mieux ...
    ... moins stressé sdsoowe Je déboutonne sa chemise et caressa seins deux merveilleux seins. Je n’ai jamais regardé en détail, mais je pense qu’elle avait un bon 95C, avec de larges aréoles et un téton saillant. J’adorais les lécher les sucer. -Allez, à moi de te faire plaisir, ôte ton pantalon et ton slip. Je m’exécutai et me retrouva avec juste mon tee-shirt. Elle prit mon sexe en bouche et me fit une bonne fellation. Elle se redressa souleva sa jupe passa au-dessus du levier de vitesse pour me rejoindre et monta à califourchon sur moi. Elle n’avait pas de culotte, je sentais sa toison contre mon sexe déjà bien raide. Elle s’empala dessus en fit des mouvements de va-et-vient. Jamais je n’avais connu pareil sensations. Je jouis trop rapidement. Elle m’embrassa en me disant que c’était bien mais qu’il fallait que je me retienne mieux. Le lendemain même chose, mais nous fumes déranger par des promeneurs qui frappèrent au carreau voyant Christiane la jupe remontée assise sur moi en face à face. Cela me coupa tout et nous en rigolèrent. Puis elle me dit qu’elle ne pouvait pas les jours suivants, et qu’elle me rappelait dès que c’était possible. L’attente fut très longue, cinq jours sans nouvelles. Je ne rêvais que d’elle la nuit comme le jour. Le 6e jour, un coup de téléphone d’elle me demandait si je pouvais me libérer le lendemain matin pour la matinée. Je lui dis que oui avec beaucoup d’enthousiasme. Je croix que j’aurais n’importe quoi pour la voir. Mais que me réservait-elle ? 
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