1. SURPRISE DU MARI– Dévergondages 16


    Datte: 17/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... remémorant ce parcours effectué il y a quelques mois. Son pressentiment s’accroît, lorsque son mari dirige le véhicule vers le centre de Saint Macaire, puis, s’arrête devant l’hôtel « Les Feuilles d’Acanthe » qu’elle reconnaît instantanément. Odile est toute chancelante, lorsque son mari la prend par le bras. Ils pénètrent tous les deux à la réception. Le directeur de l’hôtel leur souhaite la bienvenue dans ce petit hôtel de charme qui ne comporte que douze chambres. Il ne fait aucune allusion, ne semblant pas reconnaître Odile, avec laquelle il a pourtant bavardé longuement lors de son séjour avec Edmond, vantant son hôtel qui allie selon lui l'harmonie du passé et du présent, dans ce fief du vignoble bordelais, où ses hôtes peuvent profiter d’authentiques chambres girondines, dans une ambiance chaleureuse de vieilles pierres, de sols en terre cuite et des meubles en chêne vieilli. Odile respire enfin librement, soulagée de l’extrême discrétion de l’hôtelier. Elle a de nouveau un coup au cœur, lorsque son mari, muni de la clé dont elle n’a pas remarqué le numéro, entre dans la chambre qui a été la sienne durant ces jours fous, dans cette suite de plus de soixante mètres carrés, qui comprend le grand lit à baldaquin avec moustiquaire, un coin salon avec un canapé en L et une table ronde avec trois chaises, une commode, un dressing séparé, etc. La bourgeoise éplorée, se remémore le chantage odieux dont elle a été l’objet, sa peur panique de la divulgation possible des ...
    ... photographies dont elle a été menacée et ce qu’elle a dû accepter pour éviter le scandale. Sa réputation en aurait été irrémédiablement salie, aussi bien dans son couple et sa famille, que dans son entourage voire même dans son emploi. Il lui avait fallut accorder ses faveurs à cet homme vieillissant de plus de soixante ans. C’est vrai qu’elle avait été attirée par lui, mais en ami, en amant. Pourtant il lui avait révélé une sexualité inconnue, mais oh combien débordante. Elle s’en rend compte, car malgré ses angoisses, qui la rendent toute languissante, son slip est imprégné de la mouille produite pas son délire fébrile. Son mari, justement, profite du trouble qu’il devine dans l’attitude de son épouse, pour la trousser debout au milieu du salon. Ses mains s’activent sous l’ampleur de la robe et découvrent la moiteur de la culotte alors qu’Odile pousse un gémissement en essayant d’échapper aux doigts diaboliques de son mari qui se sont infiltrés sous l’élastique, plongeant dans les chairs détrempés du vagin. Devant sa tentative d’échappatoire, Michel l’apostrophe. - Eh bien ma petite chérie, tu mouilles comme une vraie salope. Ouvre tes cuisses que je puisse savourer la fente de ma petite femme. Allons, enlève ta culotte je vais te bouffer la chatte ! Odile est abasourdie, c’est la première fois que son homme ose s’adresser à elle de cette façon triviale. Elle n’a jamais accepté qu’il lui fasse un cunnilingus, trouvant inconvenant d’offrir son intimité à une langue, serait-ce celle ...
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