Ludmilla, salope énigmatique du lycée (2)
Datte: 17/05/2021,
Catégories:
Hétéro
... rejoignîmes malgré tout, la curiosité de voir Ludmilla prenant le pas sur le bon sens en ce qui me concernait. Nous avions atteint la fenêtre, et c’est alors que le miracle se produit. Les filles étaient toutes en petites tenues, commençant à se dévêtir avant d’enfiler d’hideux pyjama (sans doute les créations de Jeanne). Ludmilla était bien là, dos à nous. D’après le miroir en face de nous, je suspectais qu’elle ne nous ai vu, mais cela ne sembla pas la déranger lorsqu’elle ôta son short en jean, penchant ses superbes fesses dans notre direction. Son cul à quelques centimètres de nous, simplement couvert par une mince culotte en dentelle noire, nous laissa tous bouche bée. Derrière ce cul à se damner se trouvaient les autres filles. La poitrine des jumelles étaient comme je les avaient imaginées, rondes et imposantes. Sacha, la plus coincée des deux semblait gêner de se changer devant les autres mais également excitée et au travers de son soutien-gorge apparaissait ses petits tétons pointant, qu’elle ne pouvait dissimuler. Devant ce spectacle, Simon déclara : -Il faut absolument qu’on rentre à l’intérieur. C’est ce moment que je choisis, sans doute déséquilibré par mon sexe grossissant dans mon pantalon, pour chuter du porche dans un puissant vacarme. Alarmé par le bruit, les filles descendirent en bas, sans que la mère nous ai entendu pour autant, par chance, et nous firent rentrer discrètement à l’intérieur. Une fois en haut, Jeanne déclara que si nous voulions rester, ...
... il faudrait enfiler à notre tour des pyjamas. -Devant nous, précisa Ludmilla, plus affamée que jamais. Nous enfilions donc nos pyjamas, lorsque je me rendis compte après avoir enlevé mon pantalon l’énorme érection que j’avais encore. Il fallait dire que les pyjamas portés par les filles étaient sans doute trop petits pour elles et donc extrêmement moulant. La poitrine de Ludmilla et des jumelles soulevaient leurs t-shirt, les rendant plus près du top que du t-shirt de nuit. Devant mon sexe dressé étirant mon boxer, les filles ne purent retenir de petits ricanements. Ludmilla elle-même me regardait d’un sourire amusé, sans rien dire néanmoins. J’enfile en vitesse mon bas de pyjama une fois le moment d’hébétude passé. Malgré les recommandations de Jeanne et sa mère, Ludmilla et Simon sortirent l’alcool de leur sac et la soirée débuta réellement. Voir Simon et Ludmilla si proches me crevait le cœur. Alors que la soirée battait son plein, les jeux à boire s’enchaînaient et l’état des troupes n’étaient plus guère glorieux. C’est sans doute cet alcool qui me rendit plus audacieux que jamais lorsque Ludmilla sortit detoilettes alors que j’attendais pour y aller après elle. Après nous être jeté des regards toute la soirée, je prenais mon courage à deux mains et approcha mon visage du sien. Elle sauta à mes lèvres à son tour et m’embrassa sauvagement, puis m’entraîna dans l’espace exigu des toilettes. Goûter à ses lèvres fut un plaisir immense pour moi, mais sans avoir le temps de ...