1. Joyeux anniversaire


    Datte: 17/05/2021, Catégories: hhh, fhhh, hbi, hplusag, jeunes, copains, anniversai, Masturbation intermast, Oral fdanus, hdanus, Gay

    ... plutôt. Fabien se penche vers moi et profite de tous les prétextes pour me prendre la main ou le bras. Damien me couve des yeux. Le vin aidant, une douce euphorie nous envahit. Arrivés au café, Damien regarde sa montre. — Peste, déjà cette heure-là ! Excusez-moi, je vais devoir vous laisser ; j’ai un rendez-vous urgent. Ce ne sera pas long. Fabien ? Vous n’avez qu’à aller chez moi, je vous rejoindrai. Ça vous va ?— Okay, Damien. Ça te convient, Jean ?— C’est okay pour moi, dis-je ; je n’ai rien prévu cet après-midi, mais je ne voudrais pas abuser, si… Lola et Fabien avaient autre chose à faire… — Non, non, répond Lola en me fixant. La garce, quel regard ! — Okay pour moi aussi, je suis tout à vous, dit à son tour Fabien. Le ton ne laisse aucun doute sur les intentions du garçon.— Bon, ben puisque c’est arrangé comme ça, dit Damien, je me dépêche et vous rejoins au plus tôt. Pour l’addition, laissez : j’ai déjà tout arrangé avec le patron.— Eh bien, merci Damien, dis-je. Je me lève. J’ai repris contenance et mon érection s’est suffisamment calmée pour ne pas être visible. En suivant Fabien et Lola, j’admire la chute de reins et les jolies cuisses de la jeune fille. Fabien a son petit cul moulé dans un pantalon bleu ciel. Ma bisexualité se manifeste pleinement en lorgnant mes deux compères. Je remarque même que Fabien ne doit porter qu’un string, car aucune trace de sous-vêtement n’est visible à travers le tissu léger. Arrivés dans la rue, Fabien et Lola m’entourent. Ont-ils ...
    ... peur que je m’échappe ? Aucun risque : je suis bien. D’autant plus qu’une certaine ivresse, due à la quantité d’alcool absorbée, m’a envahi. Le ton et le niveau sonore des propos échangés, les attouchements plus ou moins accidentels à mon égard de la part de Fabien ou Lola me laissent penser que je ne suis pas le seul à avoir un peu abusé de la dive bouteille. Il ne nous faut pas longtemps pour rejoindre à pied l’immeuble cossu de Damien. Il a reçu en héritage d’un parent lointain, par la distance et les liens affectifs, un magnifique appartement. Il donne sur une cour calme. On y accède par un vieil ascenseur aux dimensions lilliputiennes. Ce n’est pas très raisonnable, mais nous montons à trois dans la cabine malgré les protestations de la concierge qui nous a entendus passer. Trop tard ; l’engin a décollé lorsqu’elle rejoint la porte pour nous engueuler. Elle maugrée un instant puis se calme. Direction le 4ème étage. Le poids que la vétuste machinerie doit élever est certainement un peu limite car l’ascenseur est particulièrement poussif. Le silence s’est fait dans la cabine. L’exiguïté des lieux fait que nous ne pouvons que nous toucher. Ce ne sont plus des frôlements. En tout cas, la main de Fabien sur mes fesses n’a rien d’un frôlement accidentel. Lola, plus petite que Fabien et moi, lève la tête vers nous. Elle frotte sa poitrine contre mon ventre. Elle me fixe. Je suis plus que troublé, et par réflexe je baisse la tête et pose ma bouche sur la sienne. N’attendait-elle ...
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