Sexe et mensonge
Datte: 06/11/2017,
Catégories:
ff,
fff,
ffh,
copains,
boitenuit,
Oral
69,
fdanus,
... provoquant de tendres sollicitations avec une expérience incomparable. C’est tout son être qui s’émeut, s’enflamme, comme si son corps appelait de toutes ses forces ce genre de contact. C’est un baiser fougueux, appliqué. Mélanie penche la tête en arrière, cherche de l’air. Catherine en profite pour couver sa gorge de baisers enfiévrés, glissant vers son menton, puis revenant vers sa bouche. Mélanie baisse vite la tête, s’offrant encore au baiser. Sa langue s’enroule autour de l’autre, déjà active, déjà impatiente. Soudain, le baiser se fait plus brusque. Presque féroce. Mélanie ferme les yeux, poussant des râles ininterrompus. Leurs bouches se dévorent dans la fureur d’un même désir, s’interrompant un bref instant alors qu’elles tentent de reprendre leur souffle, se dévorant du regard avec le même ravissement. Heureuses et stupéfaites. Mais Mélanie n’en oublie pas pour autant la personne à qui a été réservée cette bravade. Elle se tourne vers Bruno et s’exclame brusquement : — Oh ! Puis reste sans voix, prise de bouffées de chaleur. En face, les choses ont légèrement évolué… Bruno, sans les quitter des yeux, vient d’écarter les jambes, facilitant le travail de Julie qui vient d’avancer la main vers lui pour tirer lentement sur la fermeture à glissière de son pantalon. Il se redresse violemment lorsque les doigts féminins se faufilent à l’intérieur de l’ouverture, se refermant délicatement sur sa virilité tendue. Là, Julie marque un temps d’arrêt, surprise autant par les ...
... proportions démesurées que la vigueur des brûlantes pulsations qui se répercutent dans sa paume. Une telle tension érotique se dégage du couple que Mélanie se sent transpirer. Honteuse de son état, elle jette des regards furtifs autour d’elle, persuadée que son excitation gagne toute la salle. Mais les autres clients sont pour la plupart trop occupés pour faire attention à ses petits tourments. Catherine, elle, reste imperturbable. Seule sa respiration haletante trahit son trouble. Alors Mélanie finit par reporter son attention sur Bruno et sa compagne. Celui-ci grogne de volupté tandis que Julie dégage délicatement son sexe du boxer. Un sexe énorme, que les petites mains agiles parcourent tout entier, l’allongeant encore, comme aspiré par un ballet de doigts experts. Puis, le tenant enfin à deux mains, Julie se penche au-dessus de lui en entrouvrant ses belles lèvres pulpeuses, lui effleurant la pointe du pénis. Elle l’affole d’abord de coups de langue rapides, vifs et légers, avant de l’accueillir enfin dans les exquises profondeurs de sa bouche, humide, chaude et gourmande. Haletant, il se soulève du sofa afin de mieux se tendre aux lèvres expertes, s’abandonnant aux enivrantes succions qui l’amènent jusqu’au fond de la gorge féminine, sortant et revenant selon les caprices de sa partenaire. C’est elle qui mène le jeu. Une artiste aussi incomparable que perverse. Mélanie, fascinée, ne peut détacher son regard. Jamais elle n’a osé de telles improvisations avec Jean, la caresse ...