1. Sexe et mensonge


    Datte: 06/11/2017, Catégories: ff, fff, ffh, copains, boitenuit, Oral 69, fdanus,

    ... nuit, c’est elle qui détient le Pouvoir. Tous les pouvoirs… Elle est la Reine de tous les désirs, pouvant assouvir tous ses fantasmes. Un pouvoir qui lui monte à la tête, autorise toutes les folies. De la langue, elle titille le sommet du dôme exacerbé, avant de se faufiler plus bas, jusqu’à la base du sexe, l’engloutissant tout entier avec une telle gloutonnerie qu’elle en a les joues distendues. Puis, lentement, remonte, jouant sadiquement avec sa langue, avant de recommencer à l’avaler tout entier, creusant les joues pour l’attirer dans les exquises profondeurs d’une bouche humide et chaude. Lorsqu’elle le libère enfin, se concentrant sur la pointe du sexe, elle laisse de la place pour Catherine qui en profite vite pour se joindre au jeu. Toutes deux rivalisent d’audace et d’ingéniosité pour attiser le plaisir de l’homme, se défiant sur la virilité tendue, le suçant ou le happant, se croisant, pour des fois se rejoindre dans des baisers affamés, nouant leurs langues sur la pointe du sexe masculin. Pour l’homme, les sollicitations buccales sont trop expertes et intenses. Incapable de se retenir plus longtemps, il ne résiste plus aux formidables élancements qui embrasent sa chair intime. Avec un cri animal, il se sent exploser dans une pulpeuse moiteur – il ne sait plus dans quelle bouche – et se libère en tremblant et bougeant les reins, se vidant de longues giclées qui semblent ne jamais prendre fin, surtout que les deux femmes, insatiables, le harcellent toujours de ...
    ... coups de langues avides, le taquinant au-delà du supportable pour l’amener à une jouissance divine. Elles recueillent chacune de ses coulées, se disputant la place pour le délivrer de la moindre goutte, comme grisées par ce délicieux nectar, source du plaisir masculin… Club libertin. Mélanie les embrasse, les caresse, allant de l’un à l’autre, fermant les yeux et perdant contact avec la réalité. Comme aspirée par une vague brûlante qui emporte tout sur son passage, dévastatrice, invincible… Puis elle se met à genoux pour le prendre en bouche. La verge de l’homme est aussitôt aspirée comme par magie à l’intérieur de sa bouche. Et, pendant ce temps, la femme la rend folle en lui suçant les tétons, parcourant de ses mains vides chaque millimètre de sa peau, de la nuque aux fesses et là, s’attardant sur l’orifice anal, y glisse un doigt, le pénétrant très lentement. Mélanie n’y tient plus. Elle est au bord de l’orgasme. Elle se met à quatre pattes, offre impudiquement ses fesses, se fait pénétrer d’un coup, prise en levrette. Elle est tellement humide et ouverte que cela ne pose aucun problème. L’homme la besogne un long moment, dans différentes positions, comme possédé par un désir bestial. Un tel foisonnement de sensations qu’elle risque de s’évanouir, tellement le plaisir est fort. Un plaisir long et infini où l’homme et la femme l’épuisent pendant plus de deux heures. Elle n’hésite pas à avaler le sexe fatigué pour qu’il reprenne vigueur pendant que la femme en pleine possession ...