1. En avril, ne te découvre pas d'un fil...


    Datte: 17/05/2021, Catégories: fh, hagé, extracon, grossexe, poilu(e)s, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, facial, Oral pénétratio, hdanus, extraconj,

    ... seins nus au bord de notre piscine. Par contre, son jeune fils et le technicien… Je reconnais que leur curiosité me troublait agréablement ! Assez pour sentir cette petite boule de chaleur remonter de mon ventre jusque dans mes seins qui réagirent immédiatement. Maintenant, mes tétons durcis trahissaient vraiment mon trouble en tentant désespérément de percer le fin tissu de mon vêtement. Il me fallait mettre un terme à cette situation assez ambiguë. Je me suis levée, leur disant que j’avais encore beaucoup de travail. Nous nous sommes quittés après avoir fixé l’heure où Dominique commencerait le travail. Le soir, fatiguée, je me suis laissée tomber dans notre lit, blottie contre Alain, et me suis endormie comme une masse. Le réveil fut un peu laborieux. Heureusement, mon amour m’a apporté un café au lit. Me réveillant doucement, les rêves de ma nuit me revinrent à l’esprit. Érotiques ne serait pas le bon terme… c’était pire ! Bien que ce soit assez flou dans ma mémoire, j’y avais partagé quelques moments torrides avec des inconnus. Il me semble même y avoir croisé Pierre… Un tendre baiser d’Alain mit un terme à ces pensées. Une heure plus tard, lavée, maquillée, pomponnée, légère et court vêtue, je sautais dans mon bolide pour partir à l’assaut d’une nouvelle journée d’enfer ! Dominique m’attendait déjà. Il avait posé une échelle contre la façade, et une grosse boîte pleine d’outils divers attendait son maître. Dès que j’eus ouvert, il se mit au travail. De mon côté, je me ...
    ... suis installée à la même table qu’hier, mon téléphone, mes papiers et… au boulot ! Je pouvais voir notre technicien, à genoux, se démener avec un fagot de fils électriques, un tournevis entre les dents. Il ne paraissait pas particulièrement pressé de terminer son travail. À plusieurs reprises je le vis m’observer au travers de la baie coulissante. Il semblait plus intéressé par ma présence que par son ouvrage… Notre courte rencontre d’hier soir me revint à l’esprit. Je revis son regard plongé dans le creux de mon décolleté. Il avait le même ce matin. Et pour cause ! À genoux, il avait les yeux à hauteur de mes jambes, largement découvertes par ma saharienne dont je laisse toujours deux boutons du bas ouverts afin d’avoir plus de liberté dans mes mouvements. Pour une fois, je pouvais bien le laisser satisfaire sa curiosité ; d’ailleurs, je trouvais cela assez amusant… (mon petit côté exhib revient au galop). Et, par jeu, j’ai croisé, décroisé les jambes, laissant le bas de ma robe remonter lentement très haut sur mes cuisses. J’ai même légèrement pivoté sur ma chaise, me trouvant bientôt parfaitement dans son axe de vision. Cette fois, il a laissé tomber son tournevis, a feint de ne pouvoir démêler ses fils mais ses yeux le trahirent. J’avais l’impression qu’il me pénétrait du regard. Ce qui suffit à faire monter en moi un long frisson, comme si sa main s’était insinuée entre mes jambes… Vicieuse ? Peut-être… mais coquine surtout. J’ai décroisé à nouveau les jambes, passé un ...
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