1. Ophélie, de femme à femelle (10)


    Datte: 18/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... t’encule comme une salope. Mon dieu c’est vrai, malgré la douleur et la honte qui me submerge, j’ai envie de jouir, de n’importe quelle façon. Cette situation m’excite tellement que je sens ma chatte coulée, mouiller les poils pubien de mon enculeur et, je fini par lâcher un oui monsieur. - Oui Monsieur, enculez moi, éclatez moi ma rondelle, faites de moi votre enculée de chienne. Est-ce réellement moi qui viens de dire ses paroles ? Apparemment oui, car Pierre commence ses vas et viens, doucement au début puis, de plus en plus durs, plus violents, plus jouissifs. Cette fois ci il ne teste pas, il prend du plaisir à me sodomiser, je le vois, il sourit, m’insulte, me crache dessus, et moi, je m’arcboute à chaque coups de butoirs. Lorsqu’il m’attrape les seins à pleine mains pour s’en servir de poignées, je ne peux m’empêcher de jouir, de laisser échapper mon plaisir, sentant un jet chaud jaillir de ma chatte, aspergeant mon « bourreau ». - Putain, Arnaud avait raison, tu jouis encore plus sous la douleur petite chienne. Sur ce, il lâche l’emprise sur mes seins et viens me pincer les tétons durs d’excitation, et tire dessus comme pour me soulever de la table. La combinaison de la violente douleur sur mes seins et l’accentuation du vas et viens dans mon cul me fait perdre pieds, je repars dans une jouissance encore plus forte. Cette fois ci, ce n’est pas un jet qui sors de ma chatte mais un geyser, éclaboussant tout et, plus il tire sur mes pointes, plus je jouis. Il finit par ...
    ... un grand coup dans mon cul, restant tout au fond, me tenant par les pointes des seins qu’il commence à tourner, me laissant sans voix, la bouche grande ouverte de plaisir, le sentant se vider en moi, dans une tonne d’injures. Il me lâche les seins, me laissant reprendre mon souffle, se retourne pour chercher un petit gobelet en métal et commence à se retirer de mon cul, tout endoloris. Avant de se retirer totalement de mon anus, il m’ordonne de serrer les fesses, ce que j’essaie de faire avec beaucoup de mal, je ne sens plus mon anus. Dès la sortie de mon rectum, je sens le bord du récipient contre mes fesses, et j’entends des sortes de petits pets sortant de mon cul. Au bout de quelques secondes, je vois Pierre s’approcher de moi, au-dessus de mon visage, le verre à la main. - Ouvres la bouche salope. J’obéis, tout en tirant la langue attendant qu’il vide son verre plein de sperme chaud, sortant de mon cul au fond de ma gorge. Cette mixture aurai dû me faire vomir, mais au contraire, ça a attisé mon excitation, j’en voulais encore. Une fois tout avalé, j’ouvre la bouche pour lui montrer que la chienne que je suis à tout bu. Satisfait, il me tapote la joue de sa main, comme pour flatter une chienne, puis, abaisse la table d’examen et enlève la partie sous ma tête, la laissant pendante dans le vide. Me voilà attachée sur une table, les cuisses grande ouverte, le cul meurtris, tête pendante. La hauteur fait que j’ai la bouche juste au niveau de son sexe, à peine débandé, plein ...