1. Sieste crapuleuse


    Datte: 18/05/2021, Catégories: fhh, couplus, vacances, intermast, Oral Partouze / Groupe confession, totalsexe, camping,

    Souvenirs de vacances, de jouissance partagée en cette période estivale où je découvrais une autre facette de ma compagne, transformée par la chaleur de cet été passé sur la côte normande. Nous étions partis en canadienne trois places dans un camping de Jullouville, lieu choisi pour son animation et la proximité de la plage. Véro me cédait tout, c’était une compagne attentionnée qui ne se faisait prier que quelques minutes pour connaître, en ma compagnie de nouvelles sensations. Elle savait faire en sorte que ses envies deviennent les miennes. Nous avions pris l’habitude d’effectuer une sieste, souvent coquine en début d’après-midi avant d’aller à la plage. Nus sur nos duvets, nos mains erraient sur nos corps et bien souvent sa bouche venait boire mon sperme. C’était une reine en fellation, souvent je la pénétrais de deux doigts en lui parlant de triolisme, je désirais la voir sucer un homme tout en la caressant, la butiner, bref je fantasmais d’une partie à trois mais elle refusait de se partager. Durant ces vacances nous avons fait la connaissance d’un garçon de 19 ans et de sa sœur. Nous passions les journées ensemble, à la plage ou dans le camping, les intentions de Laurent étaient claires ; se faire le plus de filles possible. Mes mains glissaient des fois sur la poitrine de sa sœur, devant ma puce qu’un début de relation lesbienne avait émoustillée, (caresses mutuelles sur la poitrine nue d’une copine mais elle n’avait pas osé franchir le pas étant adolescente au ...
    ... moment des faits). Je pense que cela nourrissait encore ses fantasmes même si elle s’en défendait. Un jour, une brouille passagère nous opposa en présence de Laurent et d’un groupe de jeunes. Véro partit réfléchir un peu plus loin dans les rochers et j’aperçus Laurent la suivre, flairant certainement le bon plan pour la draguer, tandis que je décidais de rentrer à la tente pensif. Une petite heure après, elle revint, calmée, et nous nous réconciliâmes rapidement. Je la questionnai sur la présence de mon rival et elle m’avoua qu’il avait essayé de l’embrasser, en la consolant dans ses bras, mais qu’elle avait résisté pour ne pas tomber dans ses filets. Elle m’avoua avoir senti ses mains se promener lentement de ses cheveux au bas de ses reins, serrant sa joue humide de tant de larmes contre son torse nu et qu’elle avait apprécié être réconfortée de la sorte. Nous fîmes l’amour en redoublant d’intensité, ma puce se donna les yeux fermés. Peut-être imaginait-elle baiser avec Laurent ! Véro avait réveillé mon envie de la voir se donner à un autre ce qui décupla ma jouissance. J’imaginais les surprendre en train de baiser en cachette, m’approcher doucement pour mater puis me faire sucer, partager le corps de ma puce. Ce corps si ferme, ses petits seins aux pointes si souvent dressées, son chaton châtain clair que je taille au gré de mes envies ; en forme de cœur, triangle, ou en simple filet de poils. Notre jouissance fût totale puis nous nous sommes apaisés, nus sur nos duvets, un ...
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