1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°747)


    Datte: 18/05/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... serviette rêche réveille mes meurtrissures de la veille. J’ai encore de bien belles marques sur mon poitrail et mes fesses. - Rassurez-vous M’sieur le Marquis, votre pute n’aura pas froid dans le véhicule, le chauffage marche bien. Et quel véhicule, un van pour transporter les chevaux ! - J’ai mis de la bonne paille fraiche, M’sieur le Marquis, vous savez ça tient chaud la paille. Au même moment Monsieur John m’attrape par mon collier et me tire à lui. Mon visage à seulement quelques centimètres du sien : - Tu as intérêt à te tenir tranquille, petite putain… sinon gare à ton cul ! m’informe-t-il Je suis hissé dans le véhicule et jeté dans la paille fraiche. - Couche toi salope, mains dans le dos ! m’ordonne encore Monsieur John Monsieur le Marquis assiste à cette prise en main rustre, autoritaire et humiliante, sans rien dire. Il regarde sereinement, tranquillement, tout sourire. Monsieur John attrape une corde épaisse, la passe dans l’anneau de mon collier puis l’attache à un mousqueton fixé à un anneau solidement vissé dans la carrosserie du van. Il lui faut que quelques secondes, et m’attache les mains derrière le dos puis les chevilles m’obligeant à garder les genoux repliés. Dès lors qu’il en a terminé, il ne peut s’empêcher de m’écarter les fesses et de me carrer un de ses gros doigts dans le cul. - A toutes fins utiles, M’sieur le Marquis, votre salope vient de se faire ramoner, son fion est encore béant et regorge de foutre, dit-il, tel un fin connaisseur ! Le Maître ...
    ... sourit encore, simplement. John est un rustre personnage, un vrai campagnard, au visage marqué et buriné par le temps, des doigts énormes, les cheveux rouquins, des gros sourcils épais en broussaille, il porte une côte de travail verte, des bottes en caoutchouc. Manifestement, il ne semble pas connaitre ce que veut dire finesse et délicatesse encore moins éducation… La porte du van claque et se ferme brutalement. Je reste dans la pénombre, nu, entravé, couché heureusement dans un matelas de paille épais. Ca sent le cheval, plus précisément le crottin… Le véhicule démarre, recule, puis s’engage sur la petite route départementale. Je suis secoué, balloté, brimbalé, ne sachant rien de là où je vais… Le temps s’égraine doucement, il me semble qu’il y a plus d’une heure que nous sommes partis. Lorsque le véhicule s’arrête, lorsque le moteur est coupé, je suis aux aguets et essaie d’écouter la conversation. Je reconnais la voix de John, il jure… - Nom doudiou, quel bordel ! Que se passe-t-il ? La porte arrière du van s’ouvre, John m’apparait furieux. - Il manquait plus que ça, crever ici, sous la pluie, c’est bien ma veine. Il récupère la roue de secours, le cric, change celle crevée, replace la roue endommagée à l’arrière du véhicule, referme la porte, la rouvre subitement, remonte dans le van, s’approche près de moi, regarde si les liens me bloquant poignets et chevilles sont toujours bien en place, et bien évidemment me glisse encore un doigt dans le cul. - Avec du cambouis sur ...