Visite inattendue
Datte: 06/11/2017,
Catégories:
fh,
ff,
voiture,
intermast,
Oral
pénétratio,
hdanus,
couplea3,
... déchaîne, m’encourageant à aller toujours plus loin, toujours plus fort. Après la tendresse vient la passion, presque animale. Au point que j’ai presque du mal à reconnaître la femme si maîtresse d’elle qu’elle était lorsque nous étions amis. D’une main, elle se caresse la fente, parfois mes couilles. Se cambrant au maximum, elle vient au-devant de mon phallus qui la laboure. — C’est bon… Oui… François… N’arrête pas… Comme ça… Oui… Prends-moi toute ! Je suis à toi… Baise-moi fort… Je jouis… Je viens… Oui ! C’est presque en hurlant qu’elle succombe à un nouvel orgasme. Ses muscles intimes massent ma verge, me procurant des sensations extraordinaires. Mes coups de boutoir ne cessent pas, au contraire, et j’ai l’impression qu’elle jouit en continu, criant son plaisir, m’encourageant à la prendre encore et encore. Quand je suis sur le point de céder à mon tour, elle me dit de venir sur son visage. Je quitte son doux écrin, m’agenouille face à elle et, s’emparant de mon sexe, elle le dirige sur elle et mes jets se répandent sur ses tétons — Hum… C’est bon… Jouis … Arrose-moi de ton foutre. Elle me prend ensuite en bouche et, comme tout à l’heure, me nettoie, ne se résignant à me lâcher que lorsque je suis redevenu mou. Ensuite, elle se masse la poitrine avec ma jouissance. — Oh, François, c’était si bon… Je ne me rappelle pas avoir pris mon pied comme ça ! Merci c’était trop bon ! Lorsque je sens qu’elle s’assoupit, je la quitte en silence pour rejoindre ma chambre. Là, Nathalie, ...
... qui ne dort pas encore, me dit : — D’après ce que j’ai entendu, vous avez pris votre pied à deux. J’ai mouillé comme une folle de vous avoir écouté, j’ai été obligée de me masturber. oooOOOooo Le lendemain matin, c’est avec un chaleureux baiser qu’elle nous souhaite le bonjour à Nathalie et à moi. Après le déjeuner, Nathalie part faire des courses, Lucette propose de l’accompagner. À leur retour Nathalie me raconte : Nous étions à peine en route que Lucette commence par me dire : — Tu m’as fait un formidable cadeau hier soir ! François m’a baisée comme un dieu, enfin, ça tu t’en doutais. Mais toi aussi tu m’as toujours plu, j’aurais aimé que nous ayons fait de l’échangisme quand vous l’avez proposé. J’aurais aimé te voir jouir sous les assauts de mon mari, voir sa queue te donner du plaisir, te sucer le clitoris en regardant sa bite entrer et sortir de ta chatte. Tu vois, j’en mouille rien que d’y penser. Ses paroles m’ont, moi aussi, un peu émoustillée. Tout en disant cela, sa main s’est posée sur ma cuisse, et lorsqu’elle est remontée pour se glisser sous l’élastique de mon pantacourt, puis sous mon slip, je n’ai pas résisté. Sa main s’est rapprochée de plus en plus de mon mont de vénus. Lorsqu’elle l’a atteint, elle l’a frôlé plus qu’elle ne l’a touché. Je me suis cambrée comme si j’avais reçu une décharge électrique et j’ai écarté inconsciemment un peu plus mes jambes pour faciliter la caresse de Lucette. J’ai trouvé un emplacement sur le bas-côté pour m’arrêter, c’était ...