La conquête de Camille
Datte: 19/05/2021,
Catégories:
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... autour de la taille. Elle m’offrait son cul en cadeau, attendant que je la sodomise en remuant les hanches, un grand sourire sur les lèvres. — Il y a une cravache sur la console me dit-elle d’une voix rauque.— Tu as quelque chose à te faire pardonner ?— J’ai été vilaine.— Vilaine ?— Très vilaine.— Tu mérites une punition dans ce cas, dis-je la cravache dans une main et la chaîne de la laisse dans l’autre. Je fis faire un tour complet à Camille, comme pour la jauger. Du bout de la cravache, je lui désignai ses fesses. — Écarte-les avec tes mains.— Tout ce que vous voudrez… Ce vouvoiement servile m’électrisait. Bien que n’étant pas spécialement amateur de SM, l’ambiance que Camille avait installée me plaisait beaucoup. Je glissai la pointe de la cravache dans sa raie ouverte et m’arrêtai sur son petit trou, poussant légèrement. — Mmmm… oui, j’ai été très vilaine, il faut me punir. Je sortis la cravache et la fis claquer sur la fesse droite qui se marqua légèrement de rouge. — Ah ! oh oui, punissez-moi comme je le mérite. Sans un mot de plus, je lui fis faire un tour de l’appartement à quatre pattes. Arrivés dans la kitchenette, je la fis monter à quatre pattes sur la table et sortis ma bite de mon pantalon. — Suce, et suce bien !— Mmm, une belle queue comme ça, ça ne se refuse pas. Bien longue, bien dure…— Comme tu les aimes ? lui fis-je remarquer, me souvenant de cette première nuit où je l’avais entendue formuler cette remarque, collé à sa porte tandis qu’elle se faisait ...
... prendre violemment en levrette de l’autre côté.— Comme je les aime, concéda-t-elle en souriant. Pour me sucer, elle devait se pencher assez bas et ses seins pendaient et ballottaient à chaque fois que ma queue rentrait et sortait de sa bouche. Quand elle sentit que j’allais venir, elle se recula et tira la langue, prête à recevoir mon foutre dans sa bouche. Mais j’eus une meilleure idée. Je me reculai et, du bout de la cravache, lui ordonnai : — Baisse la tête ! Tu veux qu’on te traite comme une chienne, tu seras traitée comme une chienne ! Sans que Camille ne puisse voir ce que je faisais, j’attrapai un bol qui séchait sur l’égouttoir et finis de me branler dedans. Je mélangeai le sperme à un peu d’eau et tirai sur la laisse pour faire descendre Camille de la table. De retour dans l’entrée, je posai le bol par terre et le désignai du bout de la cravache. La langue sortie, amusée Camille vint laper mon foutre. Elle n’en laissa pas une goutte dans le bol. — Bon chien, c’est bien, fis-je remarquer en souriant.— Je sais être le meilleur ami de l’homme, murmura-t-elle en ronronnant. Et elle vint frotter sa tête contre ma jambe. — Tu peux te lever maintenant, Camille, tu te remettras à quatre pattes plus tard.— Merci, mes genoux commencent à me faire vachement mal, dit-elle en se relevant péniblement. Je tirai la laisse et l’attirai contre moi dans un cliquetis métallique. Nous nous embrassâmes longtemps. — Ce que tu as fait à Clémence est diabolique, je n’ai pas reconnu ma cousine.— ...