Laurence se déchaine (8)
Datte: 19/05/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... m’en demander mon avis ??? Puis Laurence le suça goulûment, à l’en faire jouir, au plus profond de sa gorge, avant d’avaler sa liqueur. — Ah, ouiii... Hum... Jean-Marc venait de jouir au plus profond de sa gorge. Ne t’inquiète pas... Tu sais que j’adore me branler. Lui caressant sa joue, il continua à lui parler. — Alors, en me parfumant les narines de ta dernière petite culotte, plus celle de Joëlle... Et si, par bonheur, celles de nos invitées sont dans le panier à linge, ce serait parfait... — Oh, nos invitées... J’en avais oublié leurs arrivées... Je vais me changer et finir le repas... Tu files à la gare, mon cœur ??? — Prépare-toi, tranquillement, je m’occupe d’aller les chercher !!! Laurence l’embrassa langoureusement, puis Jean-Marc prit le monospace et se rendit à la gare de Marseille, pendant que Laurence finissait les derniers préparatifs. Jean-Marc durant le trajet, pensa à plein de choses concernant sa belle-sœur, Anaïs et sa nièce, Marine. Comment vont-elles arriver, va-t-il pouvoir profiter de leurs intimités, en les matant, en jouant avec leurs petites culottes, imprégnées de leurs glaires, afin qu’il puisse s’en humecter les narines, et se branler sans en demander plus ? Toutes des questions, qui, en même temps l’enflamment au plus profond de son ventre. C’est ainsi qu’il arriva à la gare, en ayant une belle érection, dans son jean, serré, qu’il ne savait s’il allait pouvoir en sortir de la voiture. Il lui fallut les chercher, la pression était un peu ...
... retombée. Mais, pour celles qui avaient les yeux bien placés, elles n’avaient pas de mal à deviner son état. Le TGV en provenance de Paris venait de rentrer en gare. Jean-Marc les cherchait des yeux. Ah !!! Il aperçut Anaïs, une belle femme, brune, cheveux longs, yeux noisettes en amandes, dans une jupe courte d’été, zippée devant, noire, un débardeur en coton, rose pâle, moulant sa forte et ferme poitrine, alors que sa jupe droite, laissait deviner une taille un peu large. Marine, elle, du haut de ses 17 ans, est arrivée dans une mini robe moulante, grise, qui ne cachait rien de son ensemble, claire. De ses yeux de connaisseurs, Jean-Marc en avait déduit, une couleur blanche, chaussée d’escarpins noirs. Jean-Marc leur fit des bises appuyées à chacune, une main caressante, dans le dos. — Vous êtes ravissantes toutes les deux... — Merci ... Répondit Anaïs, avec un sourire du coin des lèvres. Puis Jean-Marc prit la grosse valise, avant de sortir de la gare et se diriger à la voiture. — Vous avez fait bon voyage ??? — Oui... Çà c’est bien passé... Dit Anaïs, assise devant alors que Marine était derrière. Jean-Marc pouvait profiter du regard brûlant de sa nièce, qui jouait avec ses doigts, sur ses lèvres, simulant une fellation. Le regard de son oncle descendit vers le pan de la mini robe grise, qu’elle avait laissé trousser haut sur son ventre, après s’être placée de façon à ce qu’il puisse la mater. Là, Marine, discrètement, jouant avec l’angle de vue qu’il pouvait avoir, sans donner ...