1. Je prend du bon temps


    Datte: 19/05/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    J’ai quarante-cinq ans, divorcée, plutôt petite, 1,60, brune cheveux long ondulés, une assez forte poitrine une croupe ronde et ferme. Comme le disent beaucoup d’hommes, j’ai beaucoup de charme. Il y a quelques semaines, j’ai décidé de sortir. Je me suis donc rendue dans une boite à une cinquantaine de kilomètres de chez moi. Ma première sortie seule depuis mon divorce. Dans la soirée, j’ai été sollicitée et chauffée par un certain nombre d’hommes. Une femme seule dans une boite, c’est normal. Vers trois heures du matin, je me suis décidée à rentrer sans avoir trouvé de quoi satisfaire ma libido de femelle en chaleur. En sortant, deux jeunes me demandèrent si je pouvais les déposer. Ils devaient avoir 18 ou 20 ans, plutôt mignons tous les deux. Nous roulions depuis même pas dix minutes quand l’un des deux posa sa main sur ma cuisse et commença à me caresser. - Tu es gentil, mais tu enlèves ta main s’il te plait. - Tu es jolie, et il n’y a pas de mal à se faire du bien. Il retira sa main mais recommença rapidement. Après tout, cela lui faisait plaisir et moi ça ne me dérangeait vraiment pas, au contraire. Mais très vite sa main passa sous ma jupe à la recherche de mon sexe. - Sois mignon enlève ta main, nous allons avoir un accident. Alors que je lui disais ça, sans que ce soit conscient et réfléchi, en même temps, j’écartais les cuisses autant que ma mini-jupe le permettait. Je sentis ses doigts effleurer mon string au niveau de la motte. Une bouffée de chaleur m’envahie, je ...
    ... sentais ma chatte mouiller, je n’avais brusquement qu’une envie : « me faire baiser ». Il l’a bien senti car la pression de ses doigts sur ma vulve se fait plus intense. Je lâche même un : « hum », tellement c’est bon. Maintenant il a compris, ses doigts écartent la ficelle et titillent mon clito. N’y pouvant plus, j’aperçois un petit chemin dans la forêt, je m’y engage. C’est à ce moment que le deuxième se manifeste en attrapant mes seins. Il écarte ma veste et déboutonne mon chemisier. Je me gare dans une clairière. La main du premier a maintenant remonté ma jupe et descendu ce rempart fragile qui dissimulait à peine mon sexe. Tout en m’embrassant, ses doigts fouillent ma chatte. Le deuxième a libéré mes gros seins et les malaxe en pinçant mes tétons. Sans avoir été pénétrée, je jouis déjà. Nous sortons tous les trois, de la voiture, je suis comme une chienne qui veut du sexe, je me déshabille. Je suis maintenant, la mini relevée, dépoitraillée dans la forêt et me jette littéralement sur la braguette de mes jeunes amants pour en extraire deux gros sexes, durs et tendus. Je commence à les sucer frénétiquement, chacun leur tour et parfois les deux en même temps. Ma bouche virevolte d’une bite à l’autre, pendant que mes mains branlent les hampes tendues. Je les entends parler entre eux : - Tu as vu la cochonne comment elle nous pompe. - Et- bien oui ma belle on voit bien tu dois aimer la bite. Tout en en gardant un dans la bouche, je m’allonge et écarte les cuisses, montrant ...
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