1. Mon mari m'a offerte à deux maghrébins. (1)


    Datte: 06/11/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Baise-moi bien à fond, tape fort, c’est bon ! -Ces blanches, toutes des putes ! Nos corps claquent l’un contre l’autre, il me possède avec ardeur et mon corps répond tout entier à chaque poussée de ce piston de forge. Soumise à ce rut effréné et sans plus aucune honte de cet accouplement plus ou moins imposé, je jouis avec une intensité affolante perdant toute retenue, offrant ma croupe pour connaître encore et encore ce divin plaisir. Mon vagin distendu à l’extrême laisse des traces moussantes blanchâtres sur l’énorme piston qui s’active en moi. Je ne peux plus me dominer, mes ongles griffent au sang mon partenaire, une plainte continue rythme chaque intromission de ce braquemard hors-norme. -Ouiiiiii ! A fond, ne t’arrêtes plus, prends-moi à fond, encore… encore !!! Miloud, contrairement à son copain est un vrai diesel, il me fore en bon ouvrier très consciencieusement bien 15 minutes avant de se vider en moi. Et la dose qu’’il envoie est proportionnelle à la grosseur de son chibre, j’ai la chatte complètement noyée et le jeu est si serré entre nos deux sexes qu’elle déborde à chaque fois que son bélier se renfonce en moi. Mon dominateur éjacule longuement, ravi de polluer généreusement cette blanche infidèle. Il reprend son souffle et se retire en m’informant : -T’es vraiment une bonne truie ! On va voir maintenant si tu es aussi chaude du fion ! Je suis apeurée mais n’ose pas me rebeller. Majid me retourne sur le ventre et malgré mes protestations se couche sur moi ...
    ... pendant que Miloud me tiens les bras. Il glisse sa bite qui a reprit de la vigueur entre mes fesse et appuie fortement sur mon anus qu’’il a lubrifié avec une coulure de sperme de son acolyte et pousse un bon coup pour m’emmancher. Heureusement que mon mari aime cette pratique. Mais comme les deux premières fois, il s’emballe et ne peut résister bien longtemps avant de se répandre dans mes intestins. Juste au moment ou je commençais à y prendre mon plaisir et lui faisait savoir en bougeant mon adorable cul. Il se retire en ma caressant tendrement mais Miloud, excité par ce qu’il vient de voir, et un peu reposé veut lui aussi tester le coté pile et je n’ai pas la force de le repousser. Il me retourne pour m’imposer une levrette. Il m’assène quelques claques sur la croupe, m’intimant de me tenir tranquille, bien décidé à m’éclater l’oignon ! Il prend quand même le temps de m’enduire la rondelle fripée de gel puis sans prendre aucun gant avec mon petit trou, il m’empale comme un poulet à la broche. Je hurle pendant qu’il me défonce le cul sans ménagement. Je ne le croyais pas possible mais on cul a absorbé sans coup-férir cette monstrueuse bite ! J’ai le visage déformé par la douleur alors que, centimètre après centimètre, il me fore l’étroit conduit, jusqu’à ce que ses couilles claquent contre mon postérieur. Il m’a défoncée jusqu’à la moelle. Je pensais que le supplice ne durerait pas trop longtemps mais cet africain a une condition physique exceptionnelle. Le temps semble s’être ...
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