Je ne peux lui résister et pourtant
Datte: 20/05/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
boitenuit,
collection,
vengeance,
entreseins,
Oral
pénétratio,
glaçon,
... confronter, et rien de tel qu’une position comme celle-ci pour arriver à mes fins. — Tu m’as reconnue quand ?— À la seconde où je t’ai vue. Tes yeux ont toujours eu une couleur assez unique, et tes seins sont aussi gros que dans mon souvenir…— Et ça t’a fait jouir de m’appeler par mon surnom de l’époque ? C’est à cela que tu pensais pendant que tu prenais ton pied ?— Je voulais que tu saches que je savais qui tu étais, mais je ne voulais pas te le dire après. J’avais envie que tu jouisses sur moi en sachant que je savais qui tu étais.— Moi, j’ai seulement deviné ton identité ce matin. En plus, je croyais que tu étais gay à cause de ton travail au bar de danseurs.— Plusieurs personnes le pensent, et ça ne me dérange pas ; ça m’amuse, même. C’est pour cela que je me suis frotté contre toi à l’ouverture, pour que tu me regardes encore comme tu l’avais fait la veille, avant que tu saches qui je suis.— Pourquoi as-tu attendu d’être profondément en moi avant de me révéler que tu m’avais percée à jour ?— J’avais peur que tu me repousses. Je voulais te baiser moi aussi autant que toi tu voulais me baiser, et je sais que même si tu sais tout maintenant, que tu le veux encore… Son sexe est encore profondément ancré dans le mien. Son sperme me coule entre les jambes. Une goutte rejoint le bout de mon clitoris, et ça m’excite. Il touche mes seins et il bande encore. Je suis subjuguée par sa virilité et son endurance. Il m’attire à lui, m’embrasse, et je me remets instinctivement à ...
... bouger sans même y réfléchir Je suis épuisée, mais mon corps se laisse tenter par une dernière montée. Cependant l’énergie me manque. Il me soulève alors et je me laisse faire. Il me couche sur le bar ; sa queue sort à peine de moi durant le changement de position, ce qui me fascine. Je reste là, inerte, presque sans bouger. Mes muscles me font mal, et lui il me baise vigoureusement encore et encore. De nouveau emportée par sa frénésie, il arrive à me faire jouir de nouveau, ce que je n’aurais vraiment pas cru possible dans l’état où je suis… Puis il sort de ma chatte et se positionne entre mes seins qu’il maintient ensemble à l’aide de l’une de ses mains. Il glisse son membre dans l’interstice en me disant : — J’ai toujours rêvé de te faire ça. J’ai toujours regardé tes seins, et je me suis très souvent masturbé en y pensant quand j’étais adolescent. Me voilà aujourd’hui, en train de réaliser un de mes plus vieux fantasmes… Il éjacule pour la troisième fois de la soirée. C’est la première fois que je suis témoin d’un tel exploit. Il arrose de son sperme mon menton et mes seins en poussant un râle profond, aussi profond que le souvenir de son vieux fantasme enfin assouvi. Les adolescents sont maladroits. Pour attirer mon attention, Ludovic Martin m’avait insultée alors que la seule chose dont il avait toujours rêvé, c’était de me posséder, d’utiliser toutes les parties de mon corps pour être enfin rassasié tout en me faisant jouir au passage plus que mon propre corps arrivait à le ...