Je ne peux lui résister et pourtant
Datte: 20/05/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
boitenuit,
collection,
vengeance,
entreseins,
Oral
pénétratio,
glaçon,
... rit de moi. Je mets le glaçon dans le cocktail d’un beau brun qui ne s’en doute pas, juste pour narguer Ludo qui me sourit de façon perverse, ce qui n’aide en rien ma résolution de mettre un terme à ce petit jeu. À la fin de la soirée, le club se vide enfin et Molly me propose de faire la fermeture à ma place, mais je refuse, prétextant que j’ai besoin d’heures, que j’ai fait moins de types que d’habitude, ce qui est totalement faux. À tour de rôle les autres employés s’en vont, me laissant seule avec ma proie ou mon prédateur, ça dépend du point de vue. Je verrouille la porte derrière eux et retourne à mon poste. Ludo est dans l’entrepôt arrière, il range quelques bouteilles vides. Toutes les lumières sont maintenant éteintes ; il ne reste plus que les encastrées au-dessus du bar. Je fais semblant de nettoyer les comptoirs, adoptant des positions suggestives. Je me sens un peu stupide, mais le manège fonctionne. Il sort du petit entrepôt et vient directement vers moi. Il m’attrape par derrière et sort mes seins de ma robe, les exposant à l’air libre pour la première fois de la soirée. Il me chuchote encore à l’oreille, même si nous somme enfin seuls. Ça fait partie du jeu, maintenant… — J’ai failli éjaculer dans mon pantalon quand tu baisais mes doigts, tout à l’heure. J’imaginais que c’était ma queue que j’avais mise entre tes cuisses. J’arrivais presque à te sentir autour de moi tellement l’image était forte. Si tu me l’avais demandé, je t’aurais prise devant tout le ...
... monde tellement j’étais excité. Maintenant, il n’y a plus de barrière entre nous, plus d’entraves entre ma libération et la tienne. Dis-moi juste que tu la veux, et elle est à toi.— Tu sais que je dois la goûter d’abord, savoir si elle est digne de moi ! Je détache son jeans lentement, très lentement. Son sexe est probablement douloureux en ce moment d’avoir passé la majeure partie de la soirée en érection et à l’étroit dans sa cachette trop ajustée. Il a maintenant le pantalon et le boxer aux chevilles. Je lui enlève son chandail car il n’est pas question que je rate la moindre parcelle de ce corps si parfait. Je l’embrasse sur la bouche et mêle ma langue à la sienne. Il me colle à lui, et je sens sa dureté le long de ma cuisse. Il n’en peut plus. Il essaie de détourner mon attention en m’embrassant plus fougueusement. Il tente de relever ma jambe afin de pouvoir mieux me pénétrer, mais je le vois venir de loin et je me recule. — Enlève ta robe, me dit-il.— Patience, nous avons tout notre temps maintenant. Je me mets à genoux devant lui. Il approche son sexe tendu de ma bouche, le tenant avec sa main pour le guider vers mes lèvres toujours closes. Le liquide qui perle au bout les humidifie et je lutte contre mon envie de les ouvrir devant une telle invitation. Je pointe plutôt ma langue taquine sur le bout de son gland. Il essaie de pousser plus loin, mais ses tentatives échouent. Il est frustré, comme moi je l’ai été plus tôt, et ça m’amuse. Il ne se fait pas violence pour ...