Elle s'offre aux autres, pour moi (2)
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
2. Retour à la réalité : Je me souviens que le soir-même, en rentrant chez nous, j’avais failli prendre Chloé devant la porte d’entrée, en pleine rue, pendant qu’elle cherchait ses clefs dans son sac. Une fois rentrés, elle avait jeté son sac et ses clefs par terre. Elle m’avait tiré vers elle, nos langues s’étaient entremêlées dans un baiser endiablé. J’avais pressé son cul entre mes mains avant de lui arracher sa culotte sous sa robe. Pressé, je n’avais pas eu le temps de la déshabiller entièrement, occupé que j’étais à desserrer ma ceinture en me repassant les images de la soirée dans ma tête. Chloé me regardait intensément, je sentais son corps bouillonner sous moi. Ses yeux animés d’un désir grimpant au rythme de sa respiration, son sein sorti de sa robe par inadvertance qu’elle pressait dans sa main... Je ne pouvais attendre plus longtemps, je n’avais jamais eu d’érection aussi forte et, une fois mon sexe sorti, je m’étais enfoncé en elle, sentant ses jambes se serrer autour de ma taille, m’imprégnant de la chaleur enivrante de son vagin qui m’aspirait au fond d’elle. Je ne lui avais jamais fait l’amour comme durant cette nuit-là, avec une telle ardeur qui me montait à la tête en parcourant tout mon corps, tout mon être était troublé de ressentir autant de plaisir rien qu’en imaginant Chloé en proie aux mains habiles d’Antoine. Les yeux bleus de Chloé levés vers moi, j’arrivais à lire en elle comme elle arrivait à lire en moi, elle serrait davantage ses jambes pour ...
... mieux me sentir à chaque pénétration, elle gémissait et avait cambré le dos dans un orgasme, pendant que je lui suçais le cou, comme le faisait Antoine chez lui. — Wolfgang, minauda-t-elle. Viens, je te veux. — Bordel. Je venais en elle, le souffle court, en sueurs avant de m’écrouler de tout mon poids sur son corps brûlant. C’est alors que mon esprit avait commencé à être en proie aux questionnements et à la culpabilité. C’était dans ce silence qu’accompagnait notre baise, la tête appuyée sur la poitrine de Chloé, que je me tourmentais. Ce qui venait de se passer s’était-il vraiment passé ? Avais-je bien permis à Chloé d’offrir son corps aux mains d’un ami ? L’aimais-je vraiment ? Tant de questions inutiles et ridicules auxquelles je répondais intérieurement d’un oui flagrant. Je l’aimais et je lui avais permis de danser collée à Antoine, de se frotter à lui pendant qu’il lui arrachait des soupirs. Chloé me défiait du regard et je relevais ce défi, parce que plus elle allait loin dans ses initiatives, plus elle était vicieuse et plus je la trouvais belle. — Wolfgang, dit-elle en mettant fin au silence. — Oui Chloé. — Prends-moi encore. On avait baisé encore deux fois, sur notre lit, avant de sombrer dans un profond sommeil. Le lendemain, on se parlait avec plus de tendresse, comme si l’on ne voulait pas prendre le risque de se blesser, on avait pris la douche ensemble de bon matin et, empilés comme de vulgaires nouveaux amoureux dans le canapé, nous avions passé la journée à ...