La fille de ma meilleure amie - Histoires de Sexe

La fille de ma meilleure amie

... sourire entendu et parfaitement complice. Pendant ce temps, les deux filles échangeaient de brèves paroles surexcitées qui les firent à nouveau éclater de rire. — Est-ce que quelqu’un va enfin me dire pourquoi on se marre à chaque fois que j’apparais ici ? demanda bravement Jean-Paul en se tournant vers elles.— C’est que Marcela a un peu peur des gros serpents de mer ! lança vaillamment Marion, aussitôt bâillonnée par son amie qui l’attira dans l’eau. Lorsqu’elles réapparurent, toutes les deux riantes et écarlates, je déclenchai la petite étincelle qui allait permettre de franchir le cap. — Il ne faut pas avoir peur, Marcela, c’est inoffensif. Viens, on va apprivoiser l’animal ensemble. Jean-Paul, tu veux bien ?— Si ça peut aider à la rassurer… Insupportable coquin… que je t’aime ! Il sortit avec naturel de l’eau, faisant saillir ses triceps, pour se présenter nu, assis au bord de la piscine, tel un vénérable dieu grec. — Venez, approchez, ai-je encouragé les filles. Les deux avaient un large sourire aux lèvres lorsqu’elles arrivèrent à quelques centimètres de l’inoffensif reptile endormi, serrées l’une contre l’autre en exagérant ostensiblement leur peur. — Tu vois, Marcela. Il n’y a rien à craindre. Il dort.— Il est quand même assez gros.— Pas de quoi effrayer une fille comme toi, insinuai-je tout en admirant mon homme, qui regardait les deux filles avec un sourire de sphinx, aux anges. Il y eut un court silence pendant lequel personne ne sut plus quoi dire, puis Marion ...

... s’effaça brusquement pour pousser son amie entre les cuisses de Jean-Paul. — Ce n’est pas moi qui voulais le voir de plus près ! Surprise, Marcela s’agrippa aux cuisses, mais, lorsqu’elle releva la tête, cessa aussitôt ses minauderies. En un échange de regard entre Jean-Paul et elle, je sus que les choses sérieuses commençaient. Il lui caressa le visage tendrement, puis, tout en soutenant son regard, la belle brune descendit vers le python assoupi. J’ai regardé quelques instants aux côtés de Marion, comme hypnotisée, Marcela prendre le sexe en main pour l’amener à sa bouche. Puis, alors qu’elle commençait ses va-et-vient et que Jean-Paul commençait à passer sa main dans les cheveux, laissant aller sa tête en arrière avec un sourire béat, je sentis l’onde de choc sexuelle se propager vers Marion et moi. Elle n’avait pas bougé d’un centimètre, pas esquissé le moindre geste pour se tourner dans ma direction. Mais je savais qu’elle regardait sans voir, captivée par l’excitation qui montait entre nous deux. Je fis un simple pas de côté pour venir coller mes seins contre son dos. Elle se laissa faire. Je posai mes mains sur ses épaules. Elle se laissa faire. Je les glissai le long de ses bras jusqu’à ses seins, que je pris fermement. Elle se laissa faire. Je déposai mes lèvres contre son cou, qu’elle m’offrit elle-même. Elle se laissa faire. Alors l’une de mes mains descendit à la rencontre de son sexe tant désiré… Je me délectais de la texture de sa peau, de l’humidité de son antre, ...