Quand la chair s'éveille (2)
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
La suite de l’éveil Se plaçant à cheval sur son bas ventre, Luce place son sexe en face de celui de Ramon et lentement elle se laisse descendre en se l’enfilant avec un plaisir non dissimulé. Arrivée au fonds, elle sent que cette longue tige tape contre son utérus lui procurant des vibrations qu’elle ne connaît pas avec son amante. Elle remonte quelques centimètres et se laisse à nouveau choir, son pubis tapant celui de Ramon qui la ramone consciencieusement. On sent que c’est un bon sportif, il maîtrise bien son excitation avec les muscles du bas ventre. – Tu feras un bon amant, lui susurre-t-elle essoufflée par sa cavalcade, tu tiens bien la distance. – Comment cela ?, dit-il – Tu ne prends pas ton plaisir tout de suite, mais tu laisses à la partenaire le temps pour s’éclater. Sans autre, elle se penche en avant et elle arrive à d’une part taper son utérus et à caresser son bouton magique avec l’os du pubis de Ramon. Il ne lui en faut pas plus pour repartir dans la jouissance et lui, piéger dans cette chatte bouillante, il finit aussi par rendre les armes. Ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre. Le lendemain, c’est Ramon qui s’éveille le premier et en descendant au rez, il passe devant la chambre d’ami où il voit que Line est en train de refaire son lit et après le bonjour, il lui propose de lui aider à le faire. La jeune femme, sans s’en rendre compte, en se penchant en avant, présente une belle poitrine à la vue de Ramon, qui aux souvenirs de la soirée passée, ne ...
... peut empêcher son dard de guigner à travers son pyjama. Évidement, cela ne tombe pas dans l’œil d’une aveugle, mine de rien, Line fait le tour du lit et d’un coup se saisit de la pine de Ramon qui sortait de son pantalon de pyjama. – Alors, on a bien joué cette nuit ?, dit-elle en tenant fermement l’objet convoité. Ne faisant pas la différence entre ses deux femmes, Ramon la renverse sur le lit et ouvre la nuisette qui la protégeait, mettant en évidence une belle fourche bien garnie et juteuse à souhait, sans préliminaire, oubliant les conseils de Luce, il la plaque sur le lit, écarte ce qui le gêne, c’est-à-dire les cuisses et sans autre forme de procès, se plante au beau milieu de Line, lui labourant le vagin de sa pine insatiable. – Salaud, cochon, violeur, tu ne m’auras pas comme cela. Se rappelant que c’est sa façon de jouir, d’avoir un langage qui dépasse la réalité, il continue à la bourrer et à labourer son sillon, comme avec Luce, il ne se laisse pas aller à se satisfaire tout de suite, mais s’applique à laisser monter les tours de Line. Il sent le petit ergot qui frappe son pubis et a un malin plaisir à le limer, tirant une symphonie de gloussement de la part de Line qui n’en revient pas qu’un homme puisse lui apporter une telle félicité. Finalement elle jouit bruyamment et violemment avant que Ramon lui octroie une rasade de jus concentré de pruneaux. – Salaud, tu m’as bien fait jouir, je ne pensais pas que cela m’était possible avec un homme. – Et encore, je n’ai ...