Ma tante de 45 ans est sublime (18)
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... évidemment les pieds charmants de ma tante et nous partîmes nous coucher. Le fait de mettre amuser à dorloter les douces extrémités de ma tante, me donnèrent une envie irrésistible de passer à autre chose, mais, il y eut un mais majuscule car ma chère Tatie ne fut pas dans l’état espéré. Elle arriva certes en nuisette et s’approcha du lit. A la vue de ma mine déconfite, elle comprit immédiatement. — Bon tu veux me voir à poil ! — Oh Chantal... Sur le champ, elle quitta sa nuisette et au passage, elle en leva les bras ce qui eut pour effet d’apercevoir son buste aux seins fermes avec son ventre bien plat. Elle se glissa sous le drap et vint près de moi. Je ne tentai rien et Chantal s’émut de ma déception naissante. — Jean, en fait j’ai beaucoup aimé tes caresses avec mes pieds mais je suis fatiguée ce soir, on fera crac-crac demain matin, tu es d’accord ? Que me fallut-il répondre face à un tel aveu ? Même mon sexe cria au scandale, furieux de voir son maître abattu face à de tels propos. Chantal se fit câline et vint me caresser...le torse. Je pris ce geste comme une preuve de tendresse et ma tante posa sa tête sur mon épaule, pour s’endormir aussitôt. Le plafond de la chambre ne m’inspira guère, aussi je décidai d’éteindre la lampe de chevet pour sombrer dans l’obscurité, en forçant mon esprit de penser à autre chose. Le lendemain matin, nous fûmes samedi et j’emmenai Anne au collège pour une colle, laissant ma tante faire une grasse matinée. Je revins vers 9 heures avec ...
... des croissants pour y trouver Chantal prenant son café. — T’es un amour, des croissants ! — Je voulais te faire une surprise. — Ca mérite un baiser. Ma tante se leva et je ressentis son odeur matinale, son odeur à elle. Elle fut en robe de chambre et elle la resserra à mon approche. — Tu ressers ta ceinture ma chérie, aurais-tu quelque chose à me cacher ? Lui dis-je en rigolant. — Mais non, je n’ai rien en dessous ! — Ah...ah...petite cachotière. Ma tante me fit un petit baiser et se rassit en croquant son croissant. Je ne me fis pas pressant, en prenant sur moi. Assis face à Chantal, j’observai la peau hâlée de ses jambes croisées, avec ses chevilles élégantes et la finesse de ses pieds aux ongles soignés. Comme elle fut désirable et comme elle le savait lorsqu’elle but son café en trempant ses lèvres si bien dessinées. Elle me jeta un regard dans lequel je devinai ses pensées. — Bon chéri, je fais ma toilette et je suis à toi. — Attends voir un peu... Au moment de se lever, je la pris par le bras et la mis face à moi en dénouant posément sa ceinture. Chantal ne bougea pas et se laissa faire. Sa robe bien ouverte, je pris soin de la détailler et le fait de regarder son corps presque nu au réveil me donna des battements de cœur. Cela fit bien longtemps que je n’avais pas éprouvé une telle sensation et un souvenir anglais me revint à l’esprit. Conclusion du moment : ma tante me faisait toujours autant d’effet. Chantal vit mon regard admiratif, elle prit elle-même la robe et ...