1. Ma tante de 45 ans est sublime (18)


    Datte: 21/05/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... bandante le matin, pas maquillée...Lui soufflai-je sentant ses tétons se durcirent, au gré de mes passages avec la paume de ma main. — Tu n’as pas besoin de le dire mon chéri, je te sens en forme ! Chantal resta sur moi et se mut de telle façon à ce que son sexe épouse la peau de mon bas ventre. — Dis donc, tu ne serais pas en train de devenir une petite fontaine... Chantal me fixa dans les yeux et posa ses mains douces sur mes épaules, j’aimai ce qu’elle fit. Cette posture de ma tante me procura cette impression folle d’être son chevalier servant, son homme à elle. Elle déborda de féminité en balayant à l’aide de ses doigts une mèche rebelle sur son visage. Elle me parut si fragile, si douce mais aussi si amoureuse dans ses gestes. Elle délaissa mes lèvres en se serrant contre moi et me fit des petits câlins dans le cou, de mon côté mes caresses se firent intenses tout le long de son dos. Chantal reprit ses mouvements du bassin, signe d’une envie intense de se faire pénétrer par son neveu. — Chantal, tu te rappelles de ce que tu as dit hier soir ? — Je m’en rappelle très bien mon amour mais j’aimerais le faire en restant sur toi comme l’autre soir. — Ah oui, c’était magique. Lui dis-je en la regardant en face. — Ouiiiii. Dit-elle les yeux brillants. Ma tante se souleva tout en gardant sa robe de chambre, ce qui rendit notre étreinte plus érotique. Nous fûmes joue contre joue, entendant chacun nos souffles courts, puis ma belle partenaire me fixa à nouveau dans les yeux et ...
    ... je sentis ma verge envahir son corps en feu. Les yeux fixes, Chantal se coula en moi à l’instar de notre dernière étreinte nocturne. Je pus voir son visage s’émerveiller au fur et à mesure qu’elle entama sa lente descente en moi. Nous entrâmes dans cette sensation vertigineuse de l’accouplement, moi m’immisçant dans les profondeurs de son corps, elle dégustant la pénétration de mon sexe en folie dans les secrets de son intimité. "On découvre toujours trop tard que la merveille est dans l’instant" François Mauriac. Chantal approcha ses lèvres et nos langues entamèrent une symphonie digne de la n°06 "Pastorale" de Beethoven. Je regardai ma superbe Tatie m’embrasser les yeux clos et je compris la citation du grand écrivain à laquelle nous avions échappée. Ma tante amplifia ses mouvements et nous nous caressâmes mutuellement. Mais tout comme Chantal, je voulus plus et nos corps cessèrent de se mouvoir. — Viens Tatie, suis-moi. — Oui mon amour... Nous retrouvâmes dans notre chambre et Chantal allongea son corps admirable sur notre lit, mettant ses bras en croix derrière la tête. Elle me regarda avec les jambes allongées puis esquissa un sourire coquin. Je restai face à elle, debout avec le sexe rigide. Progressivement, Chantal écarta ses cuisses et posa ses mains à l’intérieur, en se caressant. Ma tante se fit féline à souhait et sur le moment, je n’eus qu’une idée en tête, tout comme elle. — Lèche-moi ma chatte mon cher neveu. — Mais avec grand plaisir ma chère Tatie ! Je vins ...
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