1. Ma tante de 45 ans est sublime (18)


    Datte: 21/05/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... enfoui dans un coin de ma tête. — Jean, tu sais que je n’aime pas. — Oui Chantal mais je n’y peux rien, j’aime les belles choses et ton sexe est une merveille à contempler. Lui dis-je tout en laissant voyager mes doigts sur son intimité qui, à en juger à la respiration de sa maîtresse, ne se montra pas avare de mes petits câlins anodins. — Tu en as vu d’autres ! — Le tien est parfait, harmonieux. Tes lèvres sont bien proportionnées, c’est beau de regarder ton sexe ma chérie et tu le sais très bien... — Tu es amoureux de moi ou de...ma chatte ? — Oh Tatie, le vilain mot...mais tu as raison, j’ai deux amours ! Lui dis-je avec un large sourire. — Alors contemple... Chantal soupira de mes égarements sur la beauté de son intimité. Elle trouva cela ridicule, mais je sus au fond d’elle-même qu’elle se sentit flattée par mon adoration, non pas de son sexe mais de son corps. Il fallut admettre que ma tante affichant 57 ans, avait comme on dit une sacrée gueule. Entièrement nue face à moi, je contemplai sa poitrine toujours bien ferme, ses seins en forme de poire me parurent à l’abri du temps. Et il fallut ajouter qu’elle avait gardé son poids idéal de 54 kg et qu’avec sa nuque élancée, elle vieillissait admirablement. Je continuai mes caresses et Chantal s’allongea un peu plus, histoire de me faire comprendre qu’elle n’avait rien contre une petite visite de ma langue, dans sa somptueuse intimité. — Jean... — Oui Chantal ? — Euh...j’aimerais que tu me doigtes. Ce fut la première fois ...
    ... que ma tante me demanda un tel geste. Sans lui montrer, je fus quelque peu surpris. Mais en y réfléchissant, le temps de notre conversation...sur son sexe, je ne lui fis que des caresses intimes. Ma tante devait être bien excitée pour me demander une telle chose et je m’exécutai sans précipitation. Comme au ralenti, mon index joua avec ses lèvres totalement trempées, preuve que mes petites caresses innocentes avaient produit leurs effets. N’y tenant plus, ma tante prit ma main m’incitant à l’introduire en elle. — Fais ma jouir de cette manière chéri. Insista-t-elle. — Et bien dans ce cas, j’obéis à la maîtresse de maison et tu ne vas pas être déçue ma chérie. — J’en frémis d’avance ! Mon majeur la pénétra en douceur, une sorte d’exploration de sa paroi vaginale s’en suivit. Ma main s’étala sur son ventre duveteux avec de longues caresses, allant jusqu’à la hauteur de sa poitrine. Puis un deuxième explorateur fit son apparition à la grande joie de ma tante qui, pour la circonstance, ondula son bassin comme pour mieux amplifier mes mouvements. J’accélérai lesdits mouvements et ma bouche se mêla à cette partie effrénée. Je suçai le clitoris de Chantal qui, folle de plaisir me prit la tête entre les mains, me poussant contre son bas-ventre. Je retirai mes doigts et un grand coup de langue ravageur vint longer ses lèvres délicates. J’entendis un bien long gémissement de ma belle compagne, une sorte de râle lointain perdu dans la nuit vint mourir sur l’eau illuminée de la piscine. — ...
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