Ma tante de 45 ans est sublime (18)
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... en approchant ses lèvres à la recherche d’un baiser. — Tu es en moi, tu respires en moi... — Ouiii Jean, ouiii je suis en toi, je suis à toi... Elle murmura ces mots d’une voix tremblante, savourant la pénétration paisible de mon sexe en elle. La pénombre de la pièce dégagea une intensité quasi-exceptionnelle et dans notre étreinte incestueuse, je devinai ma tante, je caressai ma tante, je l’embrassai comme un damné, je voulus me fondre en elle. Chantal fit de légers mouvements avec son bassin nous permettant de se savoir l’un dans l’autre, de nous déguster mutuellement avec nos langues collées, nos lèvres soudées et nos caresses multiples. — Chantal ? — Ouiii Jean, je t’écoute amour de ma vie. Dit-elle gardant ses lèvres contre les miennes. — C’est unique entre nous, unique tu comprends ? — Oui mon unique amour, fais-moi jouir...Chantal m’embrassa avec une langueur presque océane. Je regardai au loin la piscine illuminée, j’y ressentis ce que le poète nous dit. "Viens mon amour Fuyons l’orage Voici venu le temps de vivre Voici venu le temps d’aimer... Mais qui donc pourrait retenir Les rêves que l’on rêve à deux ...". Nous primes ce soir-là le temps de nous aimer, je voulus emmener Chantal dans mes rêves... Et je vis dans les yeux de ma belle... "Voici qu’une île est en partance Et qui sommeillait en nos yeux Depuis les portes de l´enfance Oh, viens Viens mon amour Car c’est là-bas que tout commence ...". Je partis dans une douce rêverie parcourue de baisers insolents, ...
... bercé par la chaleur de ma somptueuse maîtresse. Chantal transpira, jouit emportée par mes spasmes violents. Il me faut emprunter ces quelques phrases déjà dites précédemment à un poète disparu, reposant aux côtés d’un peintre célèbre. "Mais qu’est-ce que j’aurais bien aimé Encore une fois remplir d’étoiles Un corps qui tremble et tomber mort Brûlé d’amour le cœur en cendres". Une pluie d’étoiles vint s’abattre sur nos deux corps rassemblés, deux corps tremblants unis dans une jouissance ultime. Et je continue avec les paroles d’un autre poète, anarchiste reclus en Toscane, qui symbolise l’apothéose entre Chantal et moi. "Je meurs dans toi, Et nos morts rassemblées feront une nouvelle vie, Unique, comme si deux étoiles se rencontraient, Comme si elles devaient le faire de toute éternité, Comme si elles se collaient pour jouir à jamais". Ce passage résume notre étreinte d’exception. Et ce fut le seul moment où je vis Chantal pleurer des diamants comme aurait dit encore le poète. Son orgasme alla au-delà du raisonnable, elle trembla de toute sa chair. Son intimité, enflammée de mes étoiles dispersées dans son corps, la transcenda vers un état émotionnel irraisonné. — Ooooh ouiiiiii...ouiii...Encore...Encore... — Tu es si belle. Dis-je en pleine jouissance. — Ouiiii...C’est bon...bon...bon... Chantal fut véritablement en transe, rythme cardiaque élevé, bouche ouverte, yeux fermés. — Ca va mon amour, tu pleures ? Lui demandai-je inquiet. — Non chéri ne t’inquiète pas, ce n’est rien. ...