Poker menteur - Histoires de Sexe

Poker menteur

... descendre lentement la culotte trempée. Après l’avoir ôtée, il l’attache à nouveau au coin du lit. Son sexe brillant de plaisir est maintenant offert librement à la vue. Elle attend, sent son regard s’enfoncer dans la bouche béante. Puis une langue, des lèvres se posent sur les chairs béantes, les lèchent, les sucent, les mordent, récoltent avec gourmandise le liquide salé qui s’écoule en abondance. — Ouiiii….. Elle n’a pas pu s’empêcher de manifester son plaisir. Sa croupe s’agite, ses hanches se dressent. Elle tire sur ses liens dans un tremblement frénétique. Son corps vibre sous les baisers intenses de son amant. Et lorsqu’elle est au bord de l’extase, il l’abandonne à nouveau, la laissant pantelante et inassouvie. Elle entend le déclencheur d’un appareil photo. — Non ! Tu peux faire de moi ce que tu veux mais rien de ce qui se passera ce soir ne doit sortir de cette chambre.— Ne t’en fais pas, c’est l’appareil photo de Marc. Il m’a demandé de te le laisser en partant. Il espère que vous regarderez les photos ensemble un de ces soirs. Tandis qu’il continue à tourner autour d’elle en la mitraillant, Françoise ne peut s’empêcher de sourire avec délice en pensant que ce n’est peut-être pas un hasard si son coquin de mari a perdu la partie. Interrompant sa séance photographique, il défait les liens qui enserrent ses chevilles. — Retourne-toi et agenouille-toi, lui ordonne-t-il de sa voix artificielle. Les bras toujours attachés au sommet du lit, Françoise se tourne, remonte ...

... ses jambes sous elle et, la tête enfoncée dans les oreillers, présente en offrande deux magnifiques fesses à la rondeur parfaite. Il descend lentement les bas jusqu’au genoux pliés. Puis elle sent une baguette souple remonter lentement entre ses cuisses entrouvertes, les tapoter dans un battement horizontal qui l’oblige à écarter les jambes et laisser libre accès à son coquillage brillant. Le petit rectangle de cuir qui termine la cravache claque sur les lèvres et sur le petit clito excité. Françoise pousse un petit cri de surprise en contractant ses fesses. — C’est ça, montre-moi donc ton beau cul, ma jolie. Tu sais que ton mari m’abriefé avant de venir. Il m’a dit que tu pouvais être une sacrée et insatiable salope, toujours prête et en demandant toujours plus. Tout en parlant et en continuant à la photographier dans cette position humiliante, il promène la tige de cuir sur les rondeurs de cet adorable cul qu’il tapote distraitement avant d’assener de petits claquements secs qui électrisent les chairs de la jeune femme. Il fait glisser la cravache entre les fesses pour chatouiller sa petite rondelle et s’enfoncer entre les lèvres baveuses de sa chatte. — Il a demandé que je te punisse de sa part pour tout le plaisir que tu prendras sans lui ce soir, pour cette chatte en chaleur que tu ne demandes qu’à m’offrir, pour ce cul impudiquement dressé qui supplie que l’on s’occupe de lui. Il paraît que tu aimes cela plus que tout. C’est vrai ? La tête enfoncée dans les coussins, ...