Microfictions : 6- L'embouteillage
Datte: 22/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Cela faisait deux heures que Olivier et Cathy se trouvaient ralentis dans un embouteillage monstre sur l'autoroute des vacances d'été. - Pour une fois qu'on peut partir tous les deux sans les enfants, on perd du temps, c'est rageant, grognait Cathy, jeune quinquagénaire aux cheveux frisés, petite mais bien proportionnée, vêtue d'un short mettant en valeur ses jambes musclées de sportive et d'un boléro à bretelles découvrant une bonne partie de ses seins généreux. - Tu parles. J'en ai ras le bol de pomper l'embrayage, je vais avoir une crampe, répondait Olivier, un gars plutôt râblé et velu, d'aspect viril. - Tu ne peux vraiment pas sortir de l'autoroute ? - Si mais on va perdre du temps et se rallonger. - Bon alors tant pis, patientons. Cathy s'enfonça dans son siège et tenta de sommeiller. Au bout de quelques minutes, Olivier constata qu'elle remuait légèrement les hanches, comme si elle rêvait à des scènes érotiques. Il laissa sa main glisser sur sa cuisse nue. Elle le repoussa : - Arrête, il y a du monde partout autour de nous, on pourrait nous voir avec toutes ces bagnoles en hauteur. Olivier s'interrompit et se concentra à nouveau sur sa conduite. Cathy avait mis son siège en position de semi couchette et se mit à ronfloter. A nouveau, Olivier constata qu'elle ondulait légèrement des hanches. Cette fois, il lui mit la main directement sur son entre-cuisses : elle était brûlante, même à travers le short. Cathy sursauta : - Arrête, je te dis. - Tu as envie de baiser, ...
... avoue-le. Cathy fit la moue : -Qu'est ce qui te fais dire ça ? - Tu remues ton cul. Tu penses à quoi ? A ma bite ? - Entre autres. Je rêvais que je me faisais prendre par plein de mecs. C'est la chaleur... - J'ai envie de te baiser. Sens ma queue. Et il lui prit sa main et la posa sur sa braguette. Elle s'y attarda suffisamment pour montrer que sa dureté naissante ne la laissait pas insensible. Néanmoins, elle le provoqua : - Tu es un peu mou. - Je vais sortir de l'autoroute et tu vas voir si je suis mou. - Tu ferais ça ? - Et comment ! - Mais on va perdre du temps. - Baiser, ce n'est pas perdre du temps. Et de fait, à la première sortie, Olivier prit la tangente. Ils roulaient en pleine campagne, à la recherche d'un endroit tranquille, tout en se chauffant mutuellement, enfiévrés par leur propre initiative. Tout en conduisant, Olivier massait le périnée de son épouse tandis que celle-ci pianotait sur la braguette de son mari. - Toujours un peu mou. J'espère que tu vas grossir pour bien me remplir. C'était évidemment faux et Olivier réagit : - Tu ne perds rien pour attendre. Je vais te défoncer, fais-moi confiance. - Tu as intérêt. Sinon, je prends le premier train et je rentre à la maison. - Pas croyable ce que tu peux être chaude. Tu es une vraie cochonne. - Tais-toi et dépêche toi de trouver un endroit tranquille. Tout en roulant, Cathy se débarrassa de son short et de son slip, ouvrit la braguette de son mari et commença à le sucer. Il y avait urgence et Olivier prit un chemin ...