1. Premières exhibitions et découverte de nouveaux plaisirs


    Datte: 06/11/2017, Catégories: fh, couple, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fsodo, initiatiq,

    ... fait, alors j’ai un peu peur d’avoir mal.— Tu sais bien que je t’aime, je ne veux pas te faire de mal !— Je le sais, mais j’ai l’impression qu’aujourd’hui tu es plus gros que d’habitude. Je ne voudrais pas que tu me déchires.— Ne t’affole pas, je vais faire doucement, si tu as trop mal, tu le dis et j’arrête.— Ok, vas-y doucement ! Il avait continué sa progression digitale dans mon petit trou et la première phalange était en moi. Un autre doigt vient à côté de celui qui est déjà en moi. Il devait l’avoir bien humidifié car je ne sens pas grand-chose. Bernard ressort ses doigts pour les lubrifier à nouveau avec ma liqueur. Il recommence à introduire ses deux doigts dans mon petit cul. Je suis même un peu étonnée de la facilité avec laquelle il peut agir. Cette fois, il tourne ses doigts à l’intérieur et distend mon muscle pour le préparer à l’entrée de sa tige turgescente. Avant, il la remet dans mon sexe et remue doucement en moi, en même temps qu’il continue ses oscillations digitales dans mon anus. En fait, j’aime bien, je ne sais pas si je serais capable de jouir comme cela, néanmoins, être prise des deux côtés est plutôt délectable. Puis Bernard retire ses doigts de mon petit trou et son chibre de mon vagin. Il pose son sexe sur mon anneau froncé. Il me dit : — Tu sais, il y a une astuce, pour éviter d’avoir mal, ce n’est pas très romantique, mais ça marche.— Oui, c’est quoi ?— Quand je commence à pénétrer ton petit cul, tu pousses, tu comprends ?— Oui, j’ai pigé, ...
    ... vas-y ! J’ai vraiment envie de faire plaisir à mon chéri, il m’a tellement appris de choses sur l’amour physique et m’a tellement fait jouir. Je suis prête à souffrir un peu, pour céder à son désir et réaliser son fantasme. Je sens une pression sur ma rosette, Bernard a entamé son ultime conquête de mon corps. En même temps, je "pousse". Je ressens une distension de mon muscle, j’ai un peu mal. Visiblement, je suis bien mouillée ou Bernard m’a bien préparée car il continue à glisser en moi. Je commence à me sentir écartelée, je suis sur le point de lui dire d’arrêter quand il me déclare : — Ça y’est, j’ai entré entièrement le bout, tu es dilatée au maximum. J’arrête un moment pour que ton corps s’habitue.— Tu es mignon. Tu fais tout pour que je n’aie pas mal.— Je veux que tu jouisses, pas que tu souffres. De ses doigts, il récupère de mes sécrétions et je comprends qu’il en étale sur son pénis et sur les bords de ma rosette distendue. Je ne ressens plus de douleur intense, seulement une vague sensation de tiraillement. J’ai envie qu’il continue, aussi, je pousse mon cul en arrière. — Tu es impatiente dirait-on ! Alors je reprends.— Oui, vas-y ! Doucement, ne me défonce pas !— Ne t’inquiète pas, j’ai trop envie de te faire jouir— Pour pouvoir recommencer. Hein ! Cochon ! D’abord, il exerce de légers va-et-vient, à chaque fois qu’il rentre en moi, il gagne un peu de terrain. Progressivement, son chibre me remplit complètement. Son bas-ventre touche mes fesses, il passe sa main ...
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