1. LAURE et AURELIE 6


    Datte: 22/05/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... terre entière. Et elle démarre au quart de tour. Tu entends. Marc voudra faire aussi bien que son frère Sylvestre. Voilà, écoute :Marie se joint à Léa et elles font de la polyphonie. Tu comprends pourquoi je dois choisir un endroit à l'écart ? Sans compter qu'Émilie, la moqueuse, va s'amuser à donner de la voix, en écho. C'est une farceuse, elle va les faire gémir de plus en plus fort en les imitant. Ça y est. C'est toujours comme ça, ne t'étonne pas. Allongée à côté de moi sur le grand sac de couchage et sur le sac à viande de même taille, Laure me dévore le museau. Elle sait faire monter la pression sanguine. J’attire son attention sur les répercussions de leurs gammes sur mon état physique ; - Regarde-moi. J'ai une certitude absolue, tu ne peux pas en douter: je te désire et ta main le vérifie. - Approche, glisse ton bras gauche sous moi, serre-moi contre toi. Ferme bien la porte de la tente et tu verras. Mais, toi aussi, retire tes oripeaux. Tu es beau. comme un sportif. Viens mon amour, viens m’aimer. Elle me dit beau, me fait remonter dans l'estime de moi. Et je ne vois rien de plus important à faire que de l’aimer J'y mettrai tout mon coeur, tout mon savoir faire. J'adore cette invitation, je ne me force pas. Sur ordre je noue les liens de la porte. Je lui dois un compliment en retour; l’émotion me conduit au plus court et au plus sincère ; - Tu es si belle. - Viens recevoir ta récompense mon brave guerrier. Nous sommes tournés l'un vers l'autre, nous découvrons nos ...
    ... corps enfin dénudés, avec les yeux, avec les mains. Des mains en mouvement, des mains caresses, des mains douceur, curieuses, flatteuses. Yeux dans les yeux, nous laissons les contacts électriser notre peau, nos doigts visiter, toucher, palper et faire palpiter tout ce qui est à leur portée. Par-dessus tout j'adore la douce plénitude des seins, la dureté des tétons dont ma bouche a gardé un souvenir ému.pendant toute la durée de notre séparation. Mais le meilleur, c'est ce regard qui captive le mien, dont je ne peux me détacher, lui-même prisonnier du mien, avec ces variations d'intensité au fur et à mesure que le toucher nous émeut lors de la découverte d'un frisson sur une hanche, du durcissement de mon téton entre deux doigts de Laure. Laure, Laure, je répète inlassablement ce prénom. Elle me dit chéri, amour, amour de ma vie. Je suis heureux. Je la sens heureuse. Nous jouissons de ce bonheur calme et tranquille alors qu'Émilie vient de relancer les couinements, les miaulements, les cris d'amour. Le concours est reparti, Léa se dévoue, atteint bruyamment un sommet aigu, bat de loin la meilleure manifestation de Marie et déclenche le fou rire général. Le rire gras des garçons fait écho. Ce chœur est-il destiné à nous pousser à nous unir charnellement? Je commence à le penser. Soudain, sans raison, Laure se met à pleurer. Une femme nue, sous une tente, qui est secouée de sanglots, je n'ai jamais vu ça. Comment la calmer, comment la réconforter ? Je resserre mon étreinte, je ...