Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple.
Datte: 22/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Avertissement : ce texte poursuit une série de récits sur la période la plus tumultueuse de notre relation de couple entre moi, Olga, l’hypersexuelle, et mon mari Philippe, le candauliste. Il traite de la période où nous avons été durablement séparés, avant de nous retrouver. Il tend à prouver que candaulisme et hypersexualité, même quand ils concernent un couple dont les liens sont solides, ne sont évidemment ni sans conséquences, ni sans dangers pour ce couple. Depuis quelques semaines, Hassan était installé à notre domicile. Il occupait le lit conjugal et était en toutes choses mon véritable mari, sauf qu’il n’en n’avait pas le titre, qui était toujours porté par Philippe. La situation de celui-ci n’était pas simple. Hassan n’avait pas l’intention de partager et, officiellement, Philippe ne me touchait plus. Pire, Hassan refusait fermement que Philippe puisse, comme il en avait pris l’habitude du temps de Rachid, assister à nos ébats et encore moins y participer. Hassan insistait pour que je divorce et que je me remarie avec lui. Il voulait construire avec moi un couple classique, voulait me faire des enfants et faire en sorte, par ses performances sexuelles que l’hypersexuelle que je suis sache se contenter de son homme. Je faisais tout pour retarder le divorce. En réalité, je voulais mes deux hommes, je rêvais d’un impossible ménage à trois. Dès ce moment, je trompais Hassan…avec Philippe ! Je rejoignais discrètement Philippe dans sa chambre pour une fellation, ce que ...
... j’affectionnais tant avec lui, ou une étreinte furtive. Nous profitions des moments où Hassan se rendait à son travail où je me rendais entre midi au bureau de Philippe. Celui-ci louait une chambre d’hôtel où nous faisions l’amour. Philippe était toujours autant amoureux de moi et moi je n’avais jamais eu autant de désir pour lui. Le caractère inédit de notre situation le désinhibait. Certes, il ne serait jamais un étalon et ne pouvait prétendre rivaliser avec Hassan, mais ses performances étaient plus qu’honorables. En plus, je n’avais pas le courage d’exiger de Philippe qu’il me prenne avec un préservatif, ce qui faisait qu’en cas de grossesse chacun de mes « deux maris » pouvait imaginer qu’il était le géniteur. Nous étions comme un couple adultère. Nous ne perdions jamais une occasion de nous frôler, de nous faire du pied. Philippe jouait avec le feu. Il était audacieux, ne perdant jamais une occasion de me toucher, de mettre sa main sur mes fesses, de me faire du pied, de me branler le clito, me mettant au supplice car je ne pouvais risquer d’attirer l’attention d’Hassan. En définitive, cette situation me plaisait parce qu’elle était dangereuse et que je franchissais un cap. Dans les faits, j’étais, pardon pour ce néologisme, « bi-andre », c’est-à-dire que j’avais deux maris. Je savais que cela ne pouvait durer et que j’allais nécessairement devoir choisir. Plusieurs événements précipitèrent les choses. Il y eut d’abord le baptême républicain de Lucie. Nous avions décidé ...