Twister
Datte: 23/05/2021,
Catégories:
ff,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
odeurs,
rasage,
Oral
jeu,
ecriv_f,
... la tête pour lui faire un baiser mais n’atteins que la cuisse, très haut, près du but. Elle fait glisser ses genoux, son sexe tant convoité descend lentement jusqu’à ma portée. Voila le bout de mon nez qui s’y écrase … Oui… elle aussi est excitée… l’odeur de son sexe est très forte. J’ai si envie de le dévorer, ce con lisse et odorant, que je tire la mince bande du slip sur le côté pour presser mes lèvres sur les siennes, moites d’envie. Toute sa vulve est dans ma bouche, je la suce comme un fruit mur et juteux, si vous me pardonnez le cliché. Nathalie a découvert mes seins et les lèche amoureusement. Je sens sa chatte toute chaude frotter contre ma cuisse. Mathieu est revenu, cela me rappelle que nous avions complètement oublié notre hôte, qui lui se régale. Il recommence à prendre des photos, sans dire un mot. Cela m’est égal et n’a plus aucune importance à mes yeux. La suite des événements est assez floue. Ce n’est plus que sensations. Voyant mon appétit féroce, Mathieu fait placer les deux filles à quatre pattes, et prend des photos de moi en train de les lécher tour a tour par derrière. Mon nez appuyé sur leur petit trou, que je ne tarde pas à lécher au moins autant que leur chatte. La vulgarité toute pornographique des poses qu’il finit par oser nous demander m’excite et je m’y prête sans retenue. Puis je suis couchée sur le dos. Les filles me tiennent les jambes bien ouvertes. Je pose ...
... ainsi devant Mathieu que je vois à peine. Bientôt leurs bouches viennent entre mes cuisses et se disputent les baisers de mon sexe. Parfois elles y arrivent simultanément, et quand Nathalie vient pincer un de mes mamelons, je gémis sans pudeur, de toutes mes forces, en bénissant son nom, et même ses parents. Odeurs de chattes, de culs, odeur de sueur, mon nez au creux de l’aisselle de Nathalie, je gémis, et Cynthia qui me doigte, en reniflant sur mes doigts l’odeur laissée là par Nathalie. Nous nous frottons l’une contre l’autre comme en extase, collantes ici, glissantes là. Toute cette peau, cette douceur, ces rondeurs, tantôt mes seins contre les siens, puis contre ceux de l’autre. Ma langue lèche un mamelon, un ventre, une fesse, une chatte, encore un mamelon, plus gros, déjà couvert de la salive d’une autre. Je suce, je lèche, je mordille, j’expire, je tremble… Je me berce entre leur corps… Je jouis debout, sur la pointe des pieds, les jambes écartées, le visage entre les mains, celui de Cynthia entre les fesses, la bouche brûlante de Nathalie contre mon sexe…. Je jouis et plus rien n’existe, dans l’éclat des flashs. Dans l’orgasme je tombe amoureuse. On se voit encore toutes les trois… Certaines font du sport ou parcourent les centres commerciaux… nous faisons l’amour et avons la ferme conviction que nous avons découvert le Sens de la Vie… Nous vécûmes heureuses et n’eûmes point d’enfants.