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J'ai rencontré la patronne du magasin (2)
Datte: 23/05/2021, Catégories: Lesbienne
... même habillée avec beaucoup de classe. Elle m’a invitée à laisser ma voiture sur le parking de la grande surface et nous sommes parties dans la sienne dans un petit resto d’une ville alentour. Elle roulait dans une belle voiture d’origine allemande au nom d’une autoroute qui donne sur Paris par le sud... Je me sentais petite dans cette voiture, je me sentais mal à l’aise, je me sentais désirée, je me sentais offerte, je me sentais une proie, mais tout compte fait le rôle ne me déplaisait pas. Nous écoutions Radio Classique et ce genre de musique était apaisant, il me permettait surtout de contrôler mon stress. Je portais une robe qui s’arrête et légèrement sous le genou tandis que Muriel avait une jupe qui elle s’arrêtait au-dessus. Quand elle a posé sa main sur ma cuisse gauche j’ai senti comme un soulagement car j’attendais ce geste depuis que je m’étais installée dans sa voiture. J’espérais tant ce moment, qu’à force je me disais que si elle ne le faisait pas; c’est moi qui allais lui saisir la main pour la poser sur ma cuisse ou même mieux, moi qui allais poser ma main sur sa jambe. Pour l’instant sa main était immobile, je commençais à sentir la chaleur corporelle de sa main à travers bon bas tout doux. Par contre je ne sais pas ce qu’il m’arrivait, si en fait je savais.., je constatai que mon minou était en train de prendre l’eau. C’était délicat à reconnaître, c’était délicat à admettre mais Muriel était en train de me faire un effet monstre. Quand sa main a commencé ...
... à effleurer ma cuisse, en partant du genou jusqu’en haut de cette dernière; je n’en pouvais plus j’avais envie de lui sauter dessus. À vrai dire je ne me reconnaissais plus, j’étais en train de réaliser que cette personne me faisait de l’effet et même me faisait envie je la désirais maintenant. Moi qui avais une vie de mère de famille rangée jusqu’à maintenant, j’étais en train de craquer pour une femme de mon âge, d’une grande beauté et surtout qui savait me prendre en main. À chaque fois que sa main partait de mon genou pour remonter, et s’arrêtait toujours un peu plus haut. Sa main ne touchait pas ma cuisse, sa main touchait mon bas; à chaque fois je désirais qu’elle s’arrête toujours un peu plus haut. Là où c’était le plus insoutenable, c’est quand elle se faufilait à l’intérieur de ma cuisse et qu’à cette occasion elle touchait l’intérieur de mon autre cuisse. Bien évidemment à chacun de ses passages j’écartais un peu les cuisses pour lui faciliter l’accès; je sentais que maintenant la moiteur de mon intimité était en train de se propager à mon entrecuisse. Muriel était une artiste pour ce qui est de chauffer une partenaire, je veillais quand même de temps à autre à ce qu’elle ne soit pas déconcentrée sur la route. Il y avait un ralentissement sur la Francilienne avant d’accéder à la nationale 20 et elle en profitait maintenant pour avec son petit doigt venir me chatouiller ma culotte trempée. Moi qui manquais d’assurance par rapport à elle, j’avais poussé l’indécence ...