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J'ai rencontré la patronne du magasin (2)
Datte: 23/05/2021, Catégories: Lesbienne
... bien plus rapidement. À mon grand désespoir la route était on ne peut plus fluide compte tenu de l’heure avancée. Du coup nous sommes arrivées bien plus vite que prévu sur le parking de la grande surface mais j’ai constaté que Muriel avait envie de plus ce soir. Nous sommes reparties dans sa berline dans un petit coin boisé, isolé; elle m’a invitée à sortir de la voiture. Une fois sorties, elle m’a pris par la main puis est partie s’asseoir sur le coffre, là elle m’a demandé à ce que je vienne lui manger son berlingot. J’étais un peu subjuguée par sa demande mais en même temps, je n’en étais pas à mon premier passage entre ses jambes. La nuit était en train de finir de tomber mais il ne faisait pas encore frais, le temps était très agréable pour offrir ce genre de prestation. Je me suis donc accroupie pour venir glisser ma tête sous sa jupe, cela sentait bon la femme là-dessous. Une fois bien positionnée, j’ai pu constater qu’elle aussi était bien humide entre les jambes; j’en concluais qu’elle devait ressentir les mêmes sensations que moi quand le vent se faisait indiscret. Je ne me suis pas fait prier à déposer ma langue sur sa toison toujours très plaisante et surtout attirante pour une novice comme moi. Quand elle a sursauté au contact de ma langue avec son clito j’en ai déduit qu’elle était très excitée et que l’opération n’allait pas être bien longue. Pendant que je commençais à la butiner, mes mains en profitaient pour lui caresser ses cuisses qui me faisaient ...
... tellement envie. Il m’a fallu quelques minutes quand même pour la débarrasser de toute sa cyprine et et que mes coups de langue soient encore plus efficaces. Il n’y a pas à dire, je prenais vraiment goût à donner du plaisir à une femme avec ma langue, en même temps j’avais l’impression que Muriel appréciait ma prestation; c’était réconfortant. De vous à moi j’aurais tellement aimé que mon mari prenne de telles initiatives en venant me brouter le minou sur le capot de la voiture familiale. Muriel commençait à prendre vraiment beaucoup de plaisir et quand je l’ai sentie saisir ma tête pour la plaquer contre son entrejambe, j’ai compris qu’il n’y en avait plus pour longtemps. — Oh que tu es bonne. — Je suis pressée que l’on se voit régulièrement. — tu es vraiment parfaite pour une débutante. C’est sur ces mots que Muriel a fini par prendre son pied en poussant des cris étouffés mais bien explicites. Pour la deuxième fois de ma vie je venais de faire jouir une femme et deux fois la même, je ne serais pas contre le fait de prendre une telle habitude. Elle m’a encore gardé la tête plaquée contre son entrejambe quelques instants, juste le temps qu’elle reprenne ses esprits. Quand je me suis relevée, j’ai pu apprécier son visage marqué par cet orgasme tant désiré me semble-t-il. On aurait dit une fragile petite gazelle effarouchée, elle m’a pris dans ses bras pour embrasser avec passion. Il commençait à faire frisquet et je réalisai qu’il allait falloir que l’on se sépare à mon grand ...