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Préhistoire 1 : une lance perdue
Datte: 23/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro
Je me souviens de cette journée, pas si lointaine, ou j'étais parti à la chasse. Notre groupe de Neandertal avait pris ses quartiers pour l'hiver et il nous manquait de la viande et des fourrures. Normalement j'aurai du partir avec un autre chasseur mais je voulais juste avoir un cerf, rien de bien dangereux. Je traquais un superbe mâle avec des bois gigantesque durant près de trois heures avant de le tuer d'une lance dans le cœur. J'étais en train de débiter une jambe pour manger un peu avant de retourner au campement quand j'entendis un bruit dans les fourrés. Pensant qu'il s'agissait d'un lion des collines je saisis une de mes lances et me préparais à la lancer dans le fourré quand une fille en sortit. Je la reconnus immédiatement, elle était de notre clan. C'était une rebelle qui partait souvent seule malgré le danger. -Qu'est ce que tu fais ici ? -Je te regardais chasser. -Mais tu es folle ! J'aurais pu t'embrocher ! Et que fais tu sans lance ? -En fait j'en ai emmené une mais je l'ai perdue. -Bravo. Il te faudra au moins une journée pour en refaire une. Et tu seras privée de chasse jusqu'à la prochaine pleine lune. -Non pas ça ! S'il te plait ne leur dit pas ! Tu pourrais me passer ta lance et dire que tu en as cassé une. -Pourquoi je mentirais ? Je ne pensais à rien à ce moment, enfin pas loin du camp. Elle par contre y pensait, beaucoup même parce qu'elle s'approcha de moi et me prit ma viande des mains ! J'allais lui mettre un mandale pour lui apprendre à ...
... attendre son tour mais elle posa la jambe à coté avant de me regarder de manière bizarre. Elle me sourit et commença à ôter ses fourrures, à ma grande stupéfaction ! Je croyais qu'elle allait se déshabiller complètement mais elle s'arrêta et se mit à enlever mes propres fourrures. J'aurais du lui dire stop mais une envie qui venait du bas-ventre m'en empêcha. Décidé à profiter de son corps je me hâtais d'enlever mes vêtements avec son aide et je finis de la dénuder. Il ne lui restait qu'une cape qui lui cachait sa poitrine et impatient je la lui arrachait ! Je pris les fourrures pour faire un tapis confortable et l'allongeait dessus. Elle me fixa de ses yeux vert tandis que je repoussais sa chevelure rousse qui lui couvrait le visage. Elle avait du se promener dans des buissons de menthe parce qu'elle en avait l'odeur. Je serais mes dents pour repousser la voix qui me disait de la prendre sans ménagement mais je voulais que nous profitions tout deux un maximum de ce moment. Je plongeai vers son cou et ses épaules que je couvris de baisés pendant qu'elle me caressait le torse. D'une main je commençais à pétrir ses seins avec douceur, puis j'y allais plus violemment quand elle se mit à me caresser le dos et les fesses avec insistance. Nous commencions à ahaner sous la pression de notre désir toujours pas assouvis et je décidais de mettre fin aux amuses-gueules pour lui faire mériter la lance qu'elle allait me prendre. Je soupirais d'extase en sentant mon sexe dans le sien. L'hiver ...