1. Sa Majesté Candaule


    Datte: 23/05/2021, Catégories: Première fois Partouze / Groupe Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... peu plus en retrait. — Venez, dit-il aimablement.Il sortit et s’éloigna de la voiture sans s’arrêter, empruntant un chemin forestier. Il se retourna souriant vers Adeline en lui tendant la main. Elle hésita, une fraction de seconde seulement. Excitée et apeurée à la fois, comme une adolescente consciente de la perte imminente de sa virginité. Une ado de plus de soixante ans, tout de même, certes au corps svelte et ferme et à la libido quelque peu surdimensionnée, avec toutefois sur le visage quelques petites rides qu’elle peinait à dissimuler.Elle se sentait attirante et désirée, et consciente qu’elle ne pourrait pas résister : il était trop beau, trop fort, il l’avait complètement envoûtée par ses pouvoirs étonnants. Alors qu’elle marchait à petits pas rapides derrière lui, accrochée à sa main virile, elle entendit la voiture se verrouiller derrière elle et le son sembla confirmer : pas de retour.À la lisière de la forêt, elle regarda une dernière fois par-dessus sa propre épaule vers le parking, à la recherche d’un visage connu. Elle vit trois, quatre portières s’ouvrir et des hommes et des femmes sortir de leurs véhicules. Plusieurs hommes scrutaient leur montre : on leur avait dit d’attendre exactement dix minutes après l’entrée de HotBird et de ma femme dans la forêt.Le beau quinqua marchait d’un pas de plus en plus pressé, il était clair qu’il avait déjà vu l’endroit et savait exactement où il allait. Adeline n’avait d’autre choix que de trottiner à son côté jusqu’à ...
    ... ce qu’ils arrivent à l’endroit où un ruban jaune pendait à un arbre. Il quitta le chemin et disparut entre les arbustes. Elle ne pouvait que suivre le plus près possible, rester tout près de lui, en sécurité, tout près de lui… Alors qu’elle traversait la mousse douce, elle sentit l’air chaud effleurer sa peau légèrement transpirante. Du premier ruban jaune, elle aperçut un petit ruban supplémentaire de la même couleur entre les arbres, et quand ils l’atteignirent, elle en vit un troisième.Ils suivaient ainsi le sentier, entre des arbres et des arbustes plus proches les uns des autres. L’homme arrêtait régulièrement pour permettre à sa compagne de reprendre son souffle et surtout pour l’embrasser à pleine bouche et lui peloter les seins et les fesses. Le doute n’était plus permis : il savait qu’elle était toute nue sous sa robe. Adeline nageait déjà dans le bonheur.Au bout de cinq minutes, ils sortirent de l’ombre dans une petite clairière. Il y régnait un silence de mort, le sol recouvert d’herbe et de mousse, tous les sons semblaient étouffés. Il se retourna brusquement, sourit et la saisit doucement par un bras, puis plus fermement. Ma femme se laissa docilement promener vers l’autre côté de la trouée. Elle se tenait là en plein soleil, les yeux scintillants, un halètement subtil, une légère transpiration et un flux de sang dans les joues et un autre dans la chatte.Elle le regarda dans les yeux et lui permit de la tirer à nouveau contre lui. Adeline ne désirait rien de plus ...
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