Cocu avant mariage FIN Non, pas cocu !
Datte: 24/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... à 17 heures chez lui pour te présenter officiellement à ses parents. - Il veut des fiançailles prolongées pendant lesquelles je fréquenterais d’autres garçons. Il a peur d’être cocu quand nous serons mariés. L’imbécile est déjà cocu. S’il savait … Venge-moi, Thomas, prends-moi, façonne-lui des cornes grandes comme ça. Défonce-moi, tue mon désir d’amour et à 17 heures j’irai le tenter mais je ne me donnerai pas à lui. Il n’aura qu’à se palucher en attendant la semaine prochaine, le con. - Viens, que je t’aide à te foutre à poil. Ta copine Josiane est merveilleuse. Toi aussi. Allonge-toi sur le dos en travers du matelas et ouvre tes guibolles. J’ai enfin du temps pour inspecter ton corps. J’adore ton petit con épilé, semblable à celui d’une petite fille. - Jean ne serait peut-être pas content . Ma mère m’a traitée de folle et veut que je laisse repousser mon barbu. - Ne contrarie personne. L’essentiel est que je l’aie vu. Quelques poils en plus ou en moins ne sont pas importants. Oh ! Tu es vraiment bien rodée, ton vagin est souple et large. Tire sur tes grandes lèvres, tu ne soupireras plus quand ma queue te pénètrera. La voilà. Qu’en dis-tu ? Rien de tel que l’exercice quotidien avec un bon étalon; remercie-moi. Allez, on remet ça, Sésame, ouvre-toi ! -J’aime. Pousse, avance sans crainte, élargis-moi encore, même si je me plains. Jean sera stupéfait de voir comment j’ai évolué à la suite de la défloration. Il se prendra pour un héros, hihihi. Aïe ! Oh; que tu es fort mon ...
... Thomas. Je t’aime, embrasse-moi et bourre-moi bien. Je veux te sentir tout au fond. Hummmm! Par l’entrebâillement de la porte je vois les fesses de Thomas en mouvement. Il connaît déjà bien le corps qu’il domine et le martèle à grands coups de boutoir. Les fesses montent lentement et retombent plus brutalement encadrées par les jambes plus blanches et plus minces de Léa. Lorsqu’ils pioche en profondeur, elle répond par des « ah, oui » puis elle retient sa respiration une fois, deux fois avant de céder au frottement rugueux et de vider ses poumons en un long gémissement. Ses mains se promènent sur le dos de l’homme, enserrent sa nuque. Longtemps l’accouplement suit son rythme de gens qui ne sont pas pressés d’en finir. Léa voudrait « plus fort, plus vite ». Léa est plus amoureuse que son compagnon. Sûr de son charme, il n’a pas peur de la vexer : - On a tout notre temps. C’est pas bon comme ça ? Retourne chez ton cocu. - Mais non, c’est fameux. Fais comme tu veux. Dis, tu m’aimes un peu ? - Ben, oui ? Sinon qu’est-ce que je fais là. J’aime ta petite gueule, tes gentils nichons qui n’ont pas allaité, ton vagin serré autour de mon pieu, ses contractions nerveuses. Oui je t’aime - Merci. Parce que je ne sais plus si Jean m’aime lui. - Tu te fais des idées. Évidemment, si tu lui fais la gueule, si tu ne te laisses pas toucher, si tu te refuses trop longtemps ou trop souvent, il finira par se lasser de toi. Tu t’emportes trop vite. Au contraire amadoue-le. Donne-lui envie, excite-le, ...