1. Emilie et Tamara, La rencontre


    Datte: 24/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... sympathiques. Durant près de 3 heures, je l’interroge inlassablement sur ses cours, elle connait la théorie hormis dans une matière. C’est barbant, qu’elle me dit. C’est présent à l’examen que je lui réponds. Dans l’ensemble, elle se débrouille très bien, je comprends mieux pourquoi les profs ne l’ont pas enfoncé sur son bulletin malgré sa moyenne assez basse. Ce n’est pas par manque de travail qu’elle patine mais par manque de méthode et de raisonnement. Alors que la miss range ses affaires dans son sac, je m’approche d’elle doucement et passe une main sur ses fesses tandis que l’autre passe sous son haut pour aller caresser ses petits seins. Elle se redresse et colle son bassin au mien. Avant que nous nous laissions aller à des folies avec nos corps, je me sépare d’elle et attrape le collier. Il est vert et or et s’adapte à merveille à sa couleur de peau. J’enlève ensuite son haut et dégage son soutif. Je profite de n’avoir rien d’autre à enlever pour lui passer les menottes avant de retirer complètement son jean et de la laisser en culotte, les seins à l’air. Je détache ses cheveux et la fais mettre à genoux devant moi comme une véritable adepte de la soumission. J’attrape le nouveau bâillon et lui enfile doucement. Quand j’ai terminé le réglage des lanières, je regarde la miss qui a l’air assez émoustillée par ce qu’il se prépare. Pour m’en assurer, je plaque une de mes mains sur sa chatte ; c’est chaud et humide en surface, j’y rentre un doigt, c’est trempé à ...
    ... l’intérieur. J’écarte sa culotte, prend l’un des godes et lui rentre dans la chatte, ce n’était pas prévu mais il faut ce qu’il faut pour la faire patienter. Je la relève et commence à lui lier les genoux et les chevilles en faisant un nœud simple pour m’assurer que la corde ne la blesse pas et qu’elle ne fait pas de réaction allergique à quoi que ce soit. Quand je lui enlève les cordes, tout va bien, aucune marque. J’enlève alors les menottes et lui enfile le monogant. Cela lui impose de serrer les poignets et les coudes dans le dos et la met dans une position très sympathique quand je la remets à genoux. Elle a les cuisses écartées pour rester stable, ce qui fait que j’ai une vue imprenable sur sa culotte qui est détrempée maintenant, ses tétons pointent au maximum. Elle est à ma merci et ça a l’air de lui plaire. A l’extrémité du gant se trouve un petit anneau, je regarde où je pourrais le relier au plafond afin de varier les plaisirs. Je ne trouve rien, tant pis, je bricolerais quelque chose. Quoi qu’il en soit, pendant que je me creuse la cervelle, la température monte encore pour la demoiselle. Quand je me retourne vers elle, elle essaie de faire bouger le gode en elle, gênée par le gant. Je la relève et la penche sur le bureau, j’abaisse sa culotte doucement et enlève le gode. Nul besoin de préliminaires tellement elle est mouillée, d’un coup, je mets ma bite en elle et commence à la baiser en profondeur. Ses mains entravées par le gant, elle ne peut s’appuyer nulle part et est ...