Julien 01
Datte: 06/11/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
parking,
ascenseur,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
odeurs,
Masturbation
... de jouissance l’oppresse. Cette moiteur torride s’infiltre jusqu’au plus profond de son sillon fessier, et même son petit trou lui parait détrempé. Elle n’aurait jamais imaginé qu’un jour elle aurait souhaité si violemment faire l’amour pour apaiser la terrible tension qui lui vrille le ventre. Solange pense qu’elle en est sûrement au point où elle est prête à se faire prendre, à se laisser posséder pourvu que l’on éteigne le feu qui lui dévore les entrailles. Sortant du parking, la luminosité du soleil l’agresse et la mère de Jacques s’empresse de fouiller dans son sac pour prendre ses lunettes de soleil. Elle ne les trouve pas. Agacée, Madame Granger se souvient de les avoir posées sur le siège passager au moment de son entrée dans le parking. Décidément cette après-midi qui s’annonçait sous les meilleurs auspices, se révèle tourner au cauchemar. Ne sachant que décider, la belle bourgeoise tourne sur elle-même et bouscule la personne qui passe à ce moment-là. — Oh, pardon excusez-moi ! s’exclame la mère de Jacques.— Ce n’est rien, fait la personne qui s’interrompt tout à coup. Solange, occupée à refermer son sac à main, ne fait pas attention au silence qui vient de se faire et relève la tête pour s’excuser à nouveau. Son regard se fige et sa gorge se noue. — Euh ! Bonjour Madame Granger, murmure Julien en se raclant la gorge.— Bonjour Julien, répond-elle sur le même ton en découvrant son jeune amant d’un soir rougissant.— Vous savez pour l’autre soir… Julien est rouge ...
... pivoine de se retrouver face à cette superbe femme qu’il a toujours admirée et qu’il a possédée un soir, même s’il n’en avait pas vraiment conscience. Il bafouille des excuses incompréhensibles, s’accusant de tous les maux. Il dit qu’il ne faut plus qu’ils se voient, se perd dans des explications confuses. Il ne fait même plus attention au fait qu’il est au milieu de la foule où beaucoup de passants peuvent s’étonner de quelques mots déplacés dans une conversation anodine entre un jeune homme et une femme qui devait être sa mère ou pour le moins une proche parente. Madame Granger succombe à ses sens et comprenant tout l’avantage qu’elle peut tirer de la situation, elle attrape le jeune homme par le bras, l’entraîne avec elle et sur le ton de la confidence s’adresse à lui. — Allons, Julien, je crois que ce n’est pas tout à fait l’endroit pour parler de ça. Il y a bien trop de monde, trouvons un endroit plus tranquille… Allons prendre un verre quelque part, cela nous rafraîchira… Elle fait deux pas, s’éloignant du parking puis s’arrête brusquement. Julien ne comprend pas ce qui se passe. — Je sais, fait-elle, comme si une merveilleuse idée venait de lui traverser l’esprit. Allons chez moi, nous y serons tranquilles, à l’abri des regards et des oreilles indiscrètes. Il y a des boissons et des glaces dans le frigo. Et comme ça nous pourrons mettre à plat tout ce qui te tracasse… Et elle fait volte-face, entraînant Julien vers l’antre surchauffé du parking. Le pauvre garçon en est tout ...