Le fils du boulanger
Datte: 25/05/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
fdomine,
Oral
pénétratio,
init,
inithf,
occasion,
... le sens troublé par sa découverte, l’écarte de moi, attrape la ceinture du boxer, tire vers le bas. Son sexe est tellement gonflé et raide que j’ai du mal à descendre le boxer, mais il finit par rejoindre le pantalon. Il a l’air honteux de dévoiler son érection, cache sa bite avec sa main. Je lui dis : — Approche-toi pour que j’enlève ton tee-shirt ! Il se dégage de l’entrave de ses vêtements, s’approche, me laisse faire, et le voilà à poil devant moi. Je descends mes mains le long de son corps, m’accroupis devant lui, attrape la queue rouge et raide comme du bois, serre la tige derrière le gland violacé, le prends en bouche. — Qu’est-ce que tu fais ? Je ne réponds pas, absorbe la bite en entier, aspire le gland, le suce avec douceur, passe la langue sur les couilles, les soupèse. — Arrête, arrête, je vais gicler ! Je continue à le sucer. Je sens le gland gonfler, la tige se raidir. Soudain il m’attrape par les cheveux, se cambre et m’enfonce sa queue en fond de gorge, ses mains bloquent ma tête. Il envoie tout par jets saccadés, c’est épais, j’étouffe, avale, déglutis, ça me coule sur le menton. Il me lâche la tête, recule : — T’as eu c’que tu voulais, j’t’avais prévenue ? Je ne peux pas répondre, me relève, fonce au lavabo, recrache le surplus, me rince la bouche, lave le visage, soulage ma vessie, fais une petite toilette intime, me parfume un peu. Me voilà de nouveau présentable. Je reviens dans la chambre. Il s’est assis au pied du lit, toujours à poil, bite pendante ...
... entre les cuisses écartées, songeur. Ses vêtements traînent au sol, je ne sais pas ce qu’il pense, il a un drôle d’air. — Tu te promènes toujours sans culotte ?— Bien sûr que non.— J’ai envie de te voir nue !— Déshabille-moi ! Il se lève, s’approche timidement, déboutonne mon chemisier, il est fébrile, ses mains tremblent. Le chemisier tombe au sol, la jupe suit. Je recule, me présente à lui d’abord de face, puis de dos, me retourne, me penche un peu en avant, écarte les jambes, glisse ma main entre mes cuisses, enserre ma vulve, enfonce un doigt dans mon trou. — Comment tu me trouves ?— Tu es belle ! Enlève ta main ! Laisse-moi voir ! Je m’approche de lui, lui prends la main, la plaque sur ma vulve. Il presse mes lèvres gonflées, introduit un doigt dans la fente, le glisse jusqu’à mon trou dans lequel il entre. Je vais prendre une serviette dans l’armoire, l’étends sur le lit, m’allonge dessus, écarte les cuisses. Il regarde ma toison, ne quitte pas mon sexe des yeux. — Viens ! Il hésite puis s’allonge à côté de moi, s’appuie sur un coude, regarde mon bas-ventre. J’ai l’impression que c’est la première fois qu’il voit une chatte de près. — T’as déjà fait l’amour ? Touché le corps d’une femme ?— Non, hier c’était la première fois !— Tu m’as juste pénétrée et lâché la purée tout de suite ! J’appelle ça baiser, pas faire l’amour !— Je t’ai pourtant bien remplie !— Allez, caresse mes seins, suce les bouts, tu vas voir comme c’est bon, ils vont durcir ! Je suis excitée, je sens que ...