Histoire alternative (8)
Datte: 06/11/2017,
Catégories:
Transexuels
... passé mon bras sur son épaule, juste pour la rassurer. Elle jette un coup d’œil vers Julie et elle voit une femme… Alors elle se jette à l’eau. Elle m’arrache pratiquement le membre de mon amie de ma bouche et se met à la sucer avec frénésie. C’est à peine si elle m’en laisse un peu. Elle se laisse emporter par l’excitation et je la devine en train de caresser sa chatte. Puis haletante, elle libère le sexe de mon ami. — Danielle, j’en peux plus ! Tu veux pas me baiser maintenant ? A ton service Guylaine… Elle s’est installée sur le divan, mi-assise, mi-couchée. Sa chatte est brillante d’humidité. Il est temps… Je la pénètre sans difficulté, attentif à ses réactions. Elle frémit, elle se cambre, elle gémit, elle ne dissimule rien de ses émois et je veux lui donner un maximum de plaisir. Julie s’est installée à coté d’elle et lui propose sa queue que Guylaine engloutit avec voracité… Elle s’interrompt juste quelques secondes le temps de pousser un gémissement sonore lorsque ma caresse devient trop forte. Elle prend son pied comme jamais, et je veux que ce soit comme çà. Elle est tellement belle cette jeune femme quand elle prend autant de plaisir ! Je vois monter son plaisir, mais elle me repousse soudain. — Non attendez ! C’est trop vite, pas tout de suite ! Je… j’en veux encore ! Danielle, j’ai envie de… je voudrai essayer avec Julie, je peux ? Bien sur qu’elle peut. Julie s’est assise sur le divan et Guylaine s’empale sur elle en gémissant, les yeux fermés. Je suis ...
... fascinée. Elle est magnifique. Elle a les yeux mi-clos, sa chevelure ondule de droite à gauche, elle pousse des soupirs de bien être à chacun de ses mouvements, sa généreuse poitrine se balançant au rythme des pénétrations. Mais je ressens une impression bizarre, comme si quelque chose s’arrachait à moi… J’ai trop envie de son contact, de la douceur de sa peau, de l’odeur de son corps, de ses orifices. Je me colle à elle, sollicite un baiser qu’elle me rend avec l’expression dune collégienne qui chavire. « Vient aussi ! » me lance t-elle ! Je comprend ce qu’elle veut. Je met derrière elle, ma queue effleurant son anus qui frémit, qui se contracte et se relâche au fil des secondes. Et puis je la pénètre d’une simple poussée, lui arrachant un cri de douleur et de plaisir mélangés. Nous avons échangé un regard avec Julie, c’est le moment de tout lui donner. Nous la baisons en cadence. Je sens la queue de Julie à travers la mince membrane qui sépare l’anus de Guylaine de son vagin. Elle crie de plaisir, elle se crispe, elle semble vouloir échapper à notre étreinte mais elle donne de furieux mouvements de bassin pour mieux nous sentir. Lorsque nous la sentons se contracter, que ses yeux se révulsent, qu’un long hurlement s’échappe de sa gorge, je me lâche. Je sens Julie se vider simultanément. Je ne me rappelle pas avoir eu une jouissance aussi intense de toute ma vie. Notre rythme ralentit, nous la libérons l’un après l’autre. Son visage rayonne de bonheur. Elle est en nage, ses cheveux ...