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Un agent immobilier peu ordinaire.
Datte: 26/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... remontée sur ses cuisses croisées quand elle a réalisé son croquis. Elle découvre sa pose dans une des portes miroirs qui lui fait face et au lieu de décroiser ses jambes et rabaisser la jupe, elle accentue en rejetant son buste en arrière. La jupe remonte un peu plus pour découvrir le haut des bas. Elle décroise enfin ses jambes et les écarte largement. Je me suis assis près de Virginie sur le lit. Dans le grand miroir, j’aperçois le compas de ses cuisses ouvertes mais, surprise, cette coquine ne porte pas de culotte ! Sa chatte est à l’air libre. Waouuhh ! C’est vraiment une coquine ! En ouvrant deux boutons de son chemisier, elle dit soudain : • Il fait chaud chez vous, je me mets à mon aise pour continuer. Je ne sais pas si elle s’est rendu compte de l’effet qu’elle me fait d’autant que la chaleur la fait transpirer et fait ressortir son parfum capiteux. Je n’ai pas fait l’amour depuis bientôt un mois et ma bite commence à s’agiter sérieusement dans mon boxer. Je tourne la tête vers elle qui a repris son croquis et y mets les derniers chiffres. Par l’échancrure de son chemisier, je vois un sein, pas très volumineux maintenu par un soutien gorge à demi bonnet en dentelle blanche qui tranche sur sa peau bronzée. Lorsque pose sa planche à croquis, elle reprend la pose alanguie de tout à l’heure et s’étire comme une chatte en s’allongeant entièrement sur le lit. Seules ses jambes gainées par les bottes montantes sont encore au contact du tapis. Je réponds immédiatement à son ...
... invitation tacite. Je passe ma main droite entre ses cuisses et je remonte jusqu’à sa vulve en lui demandant si c’est une habitude chez elle de ne pas porter de culotte. Oui, elle apprécie de sentir le courant d’air lui chatouiller l’entrejambe. Je masse doucement son mont de Vénus avec un doigt replié pour passer entre les lèvres de son vagin. Elle est toute chaude et déjà trempée de mouille. En massant ses seins les mains passées dans l’encolure du chemisier, elle soupire : • Humm ! Continue ! Tu me fais du bien ! Maintenant, j’ai la bite complètement dressée. Virginie se relève et emprisonne ma main dans la fourche de ses cuisses, j’ai deux doigts dans sa chatte. Elle fait voler son chemisier et son soutif en les envoyant sur le tapis. Elle se dégage et se met en levrette en remontant sa jupe sur ses reins. Je quitte rapidement mon sweat-shirt, mon pantalon et mon boxer. J’attrape un préservatif sous l’oreiller et me couvre. Avec une inconnue, on ne sait jamais ! Je n’ai pas besoin de préparation. Un mois d’abstinence et son manège ont fait déployer ma queue dans toute sa splendeur malgré mes 60 ans bien sonnés. Je me place derrière elle, je vois ses fesses rondes et la raie culière qui s’évase doucement. Je m’approche et d’une seule poussée je lui donne l’estocade qui me conduit au fond de sa chatte brûlante. Je reste ainsi quelques minutes, savourant la sensation de ce fourreau de chair qui commence à masser mon sexe avant d’entreprendre le va-et-vient. Je baise Virginie ...