La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°820)
Datte: 26/05/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... temps pour bien me dilater, et quand Il décida de me prendre plus virilement alors Il poussa... poussa... et me pénétra d’un coup puissant et profond ! Je criai de douleur mais aussi de plaisir ! Mais ça y est, il était en moi et me possédait... Il allait et venait entre mes fesses, avec une force, une autorité qui me firent comprendre qu'il ne me baisait pas seulement le cul, mais qu'il prit réellement possession de moi jusqu'au plus profond de mon être. Il s'était saisi de mes poignets et les réunit dans mon dos en les maintenant d'une seule main... Tandis que de l'autre, il me masturbait le clitoris, mes lèvres intimes. Tandis qu'il se joua ainsi de mes orifices, je compris, au-delà de la douleur de mon cul défoncé, que je subis un véritable acte initiatique... Je suis comme marquée par cette pénétration qui fait de moi une autre femme, une soumise possédée par le Maître... Alors je me mis à pleurer doucement, je pleurai de bonheur plus que de douleur sur ce nouveau destin de soumission... Tout en m'enculant profondément, le Maître me donna une forte volée de fessées de sa main libre. Les claques vinrent s'ajouter à cette saillie fulgurante... J'imagine que mon cul allait en porter les traces rougies pendant un bon moment... et mes gémissements se mêlèrent : Gémissements sous les coups qui s'abattirent, gémissements à chaque coup de reins qui enfonçait dans mon anus. La ...
... queue épaisse et dure du Maître me besognait sans concession, bestialement, sauvagement ! Et quand Il fut proche de la jouissance, il me frappa encore les fesses de sa large main, alors que je gémissais toujours et de plus en plus du plaisir qui me gagnait au-delà de la douleur, plaisir d'être ainsi traitée et plaisir de sentir sa Main me fesser durant ses vas-et-viens... Soudain sur Ses derniers coups de boutoirs, il éjacula abondamment et je sentis un épais flot de semence qui se répandit entre mes entrailles. Le Maître dit d’une voix forte, tout en lâchant de longs râles de plaisirs jouissifs : « Je… te… pardonne… Ma… chienne… Ma… propriété… Tu… es… à… Moi ! » Puis de pousser fortement encore une fois un profond râle guttural et de se vider de Sa dernière saccade de sperme au fond de mes entrailles par un puissant coup de reins bien séparé des précédents. Ensuite, il resta un long moment immobile en coït anale profond avant de nous fit glisser au sol, me tenant tendrement dans Ses bras tout en restant toujours profondément enfoncé en moi. - Voilà ce que j’aurai voulu comment, j’aurai voulu finir mon passage chez toi hier, Ma chienne ! Mais je te le répète, je te t’en veux pas ! dit-Il d’une voix douce. Et maintenant, voyons les sujets plus professionnels que nous aurions du aborder hier ! Mais avant nettoies-moi bien Ma verge qui t’a posséder si profondément … (A suivre …)