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14de 23: Mère et Fils: une histoire d'
Datte: 26/05/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... augmente au rythme de notre baise. La lave liquide de la chatte de maman, enveloppe ma bite et ce feu se propage pour embraser notre désir i****tueux et courir ensuite dans nos veines pour nous immoler sur le bûcher de l’i****te et mourir de plaisir.La langue de maman s’enfonce frénétiquement dans ma bouche pour un duel avec la mienne quand elle commence à crier sa joie immense d'être, une fois de plus, transcendée par l'orgasme que lui procure son fils aîné. Les parois de son vagin dansent la gigue autour de ma bite enfoncée dans son utérus et je sens mon propre orgasme arriver.Ma bite baigne dans un flot d’huile douce et délicieusement parfumée et mon gland se gonfle et palpite avant de pulvériser, comme une lance d’incendie, des jets de mon sperme chaud.Nos corps encore plus serrés, semblent figés dans le doux moment qui suit notre orgasme commun. Nous nous embrassons, les yeux dans les yeux, nos âmes enlacées, avec le désir et la nécessité de faire sentir à l’autre tout l’amour qu’il veut lui faire partager, maintenant et à jamais.Une fois calmé, je me soulève un peu pour soulager maman de mon poids mais elle resserre ses jambes autour de moi pour maintenir son emprise.-Chéri, tu vas vraiment trouver du travail près de mon village ? Tu vas aller vivre là-bas ?Je souris et hoche de la tête.- Non, « ON » va se déplacer vers le village où tu es née… ensemble… pour toujours !Des larmes roulent sur le visage de maman, alors qu'elle rit et pleure en même temps. Tout ce qu'elle peut articuler, c’est- Oui, ensembles.Mon sexe quitte le sien et nous continuons à nous câliner sur la couette. J’arrache mes couvertures de mon lit pour nous couvrir et je lui chuchote.- Je t'aime tellement, maman.La tête de maman repose sur ma poitrine, sa main sur mon ventre, juste au-dessus de mes poils pubiens. Elle se tourne pour embrasser ma joue et répond.- je t'aime, mon fils. Joyeux Noël.Et nous nous sommes endormis, heureux, dans les bras l’un de l’autre, nos cuisses mêlées.